• LES REMPARTS DE REMALARD (Orne)

    LES REMPARTS DE REMALARD (Orne) LES REMPARTS DE REMALARD (Orne) LES REMPARTS DE REMALARD (Orne)

     

         « Rémalard est situé au centre du Parc Naturel Régional du Perche. La commune est traversée par l'Huisne et le ruisseau de Boiscorde. » [1]

     

    LES REMPARTS DE REMALARD (Orne)     « La localité est attestée sous la forme Remalast en 1099. Il semble généralement admis que « le mauvais gué » ou « le gué mal placé » sur la rivière Huisne, à l'emplacement du pont actuel, aurait donné son nom à la commune, c'est-à-dire : rei « gué ». » [2]

     

         " Rémalard (Orne) est un exemple typique de bourg castrai simple qui aboutit au développement d'une petite ville du Perche selon un processus qui s'est reproduit ailleurs de très nombreuses fois. Cependant aucun texte ne mentionne un burgus ou des burgenses. Seule, la configuration urbaine permet d'affirmer qu'il s'agit bien d'un développement de ce type. Un gros château à motte occupe l'extrémité d'un éperon au-dessus d'un passage à gué permettant de franchir la large vallée de l'Huisne. L'importance stratégique de la forteresse est des plus claires. Guillaume le Conquérant y assiégea en 1077 son fils révolté contre lui (André Debord, Les bourgs castraux dans l'Ouest de la France, Châteaux et Peuplements en Europe occidentale du 10e au 18e siècle (1er colloque de Flaran, 1979), Auch, 1980.). Le long de la basse-cour existe une place du marché qui comportait encore au 18e siècle une halle importante. De cette place, part une longue rue où la disposition des maisons, sur de petites parcelles perpendiculaires à l'axe de circulation, montre que le cadastre conserve une topographie ancienne qui fait penser à celle des villages neufs. A l'extrémité de cette rue, se trouve l'église Saint-Germain dont la dédicace remontant au haut Moyen Age prouve qu'un village ancien a précédé le bourg. Enfin, près de l'église, la microtonymie rappelle qu'a existé là un prieuré dédié à saint Roch. Ainsi, château, marché, prieuré, les éléments classiques du « bourg castrai » sont présents. " [6]

     

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    Photos ci-dessus extraites d'un site néerlandais très complet et fort bien documenté sur les mottes en Europe dont celles de Normandie : http://www.basaarts.nl/vraagbaak.php

     

          « La ville est construite autour de la butte dite de Guillaume le Conquérant en souvenir du château investi en 1077 par le duc de Normandie. Les derniers vestiges furent rasés vers 1820 et utilisés comme remblais et matériaux de construction. » [1]

     

    LES REMPARTS DE REMALARD (Orne)   LES REMPARTS DE REMALARD (Orne)

     

    Plan hypothétique du tracé des remparts de la ville de Rémalard (à améliorer...) ; Blason de Rémalard par Chatsam — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=40566936 

     

         « Ingulphe Ribaud ou Ribaud (Ribald) de Dreux, un des vassaux de Robert le Pieux (roi en 996-1031, fils d'Hugues Capet) fut seigneur de Rémalard (Regmalard). Il possédait également Senonches, Brezolles, Sorel-Moussel et de nombreux biens à Dreux. Dès lors, l'histoire de la ville se mêle intimement aux puissants barons de Châteauneuf-en-Thymerais issus de Ribaud de Dreux, qui régnèrent sur le Thymerais jusqu'au 13e siècle.

         L'un d'eux, Hugues de Châteauneuf, qui avait épousé Mabile fille de Roger de Montgommery et de Mabile de Bellême, donna asile à Châteauneuf, à Robert Courteheuse, révolté contre son père le roi-duc Guillaume le Conquérant à la suite d'une brouille avec ses frères et de l'échec de la prise du château de Rouen. Guillaume le Conquérant vint alors faire, en 1078, le siège de Regmalard, qui finit par se rendre. Il était accompagné de Rotrou III du Perche, comte de Mortagne, alors seigneur suzerain de Regmalard.

         Lors du siège de Rémalard en 1077, Guillaume le Conquérant fit élever plusieurs mottes défensives sur le territoire actuel de la commune de Bellou-sur-Huisne, dont l'une sur le site de la Butte (sud-est), et l'autre probablement à la Coudorière (sortie ouest de Bellou) coupée en deux au 19e par la route de Bellême. D'autres mottes ont vraisemblablement existé au Chatelier (Rémalard) et à Beauregard (Dorceau). » [2]     

     [Beauregard et la Guénetterie sont deux hameaux voisins de la commune de Dorceau. NdB]

     

         « Il a fait construire quatre tours autour de Rémalard : La première à l'Ouest au Châtellier, la deuxième au Sud à la Butte, la troisième à l'Est à la Guéneterie et la quatrième devait se trouver dans la pente des Bois-Clair qui était un point stratégique.

        Guillaume le Conquérant ne laissait pas les gens sortir pour qu'ils meurent de faim et se rendent.
        Le commandant de la place, Guilfier Ier était en train de protéger le château lorsque quelques-uns des chevaliers de Guillaume le Conquérant massacrèrent le comte de Villeray qui était le père de Guilfier. En apprenant cette nouvelle, Guilfier se rendit. Guillaume le Conquérant gagna et ce fut la fin du siège de Rémalard. Le commandant de la place, Guilfier, n'a pas eu la force de venger son père. » [4] 

     

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    Ci-dessus à gauche vue de Rémalard : la partie boisée correspond à l'emplacement de la motte castrale ; au centre et à droite, l'hôtel de la Poste : la motte se trouve derrière l'hôtel dans le parc.

     

        Pour la succession des seigneurs de Rémalard se rendre sur le site Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9malard

        D'où en résumé, « on trouve Payen († 1093), Yves puis son fils Gasce croisé en 1202 pour la IVème Croisade (peut-être apparentés aux Châteauneuf (-en-Thymerais : en tout cas leurs vassaux et alliés).

         Au 13e siècle, Rémalard rejoint un groupe de seigneuries percheronnes en possession des Rotrou comtes du Perche. Le roi Louis IX annexe le Perche au domaine royal en 1227.

        Le duc Jean Ier de Bretagne acquiert cet ensemble, avec Nogent-le-Rotrou. Les ducs de Bretagne, ses successeurs, en héritent jusqu'à Arthur II.

         Rémalard et Préaux passent à une fille d'Arthur II qui épouse Bouchard VI comte de Vendôme. Ainsi, Jean bâtard de Vendôme est sire de Préaux au 15e siècle.

        Jeanne de Joyeuse transmet au 16e siècle ces fiefs à son mari François de Montmorin sire de Saint-Hérem en Auvergne. Rémalard est cédé aux cousins Bourbon-Montpensier princes de La Roche-sur-Yon puis aux cousins Bourbon-Vendôme par ailleurs héritiers de Nogent-le-Rotrou.

         Rémalard et Nogent ont alors un destin commun pendant plus d'un siècle : ainsi, on trouve Rémalard aux mains de Jean de Bourbon comte d'Enghien et de Soissons puis de sa veuve et cousine germaine Marie II comtesse de St-Pol et duchesse d'Estouteville († 1601). Puis Rémalard passe aux cadets des Bourbon-Vendôme, les princes de Bourbon-Condé. Les Condé tentent de se constituer ainsi un bloc féodal percheron : le duché-pairie d'Enghien-le-Français est érigé en 1566.

        Cependant, le petit-fils du prince Louis, Henri prince de Condé cède Nogent-le-Rotrou et Rémalard en 1624 au grand Sully, aussi intéressé par un fief percheron. Nogent passe à son fils cadet François duc d'Orval et aux descendants de ce dernier, les Béthune d'Orval. Rémalard est cédé en 1658 à François de Riants barons de Voré (châtellenie, à Rémalard) et de La Brosse, marquis de Villeray : il devient comte de Rémalard, comme son fils Charles Ier († 1690) et son petit-fils Charles II († 1710), dont la fille Marie-Louise († 1717) épouse Anne-Charles Goislard de Montsabert. Dès 1714, Rémalard est vendu à Bernard de Javeshac, qui vend en 1719 à Louis Fagon de La Moutonnière (en Eure-et-Loir). Finalement le philosophe matérialiste (ou déiste ?) des Lumières Helvétius l'acquiert dès cette même année 1743, et sa fille Geneviève porte par son mariage le château de Voré aux comtes alsaciens d'Andlau de Hombourg. » Résumé de [2]

     

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     Au centre photo extraite de  http://blogs.etab.ac-caen.fr/ecole-remalard/index.php/post/2013/06/13/Les-CM1-visitent-la-motte-f%C3%A9odale-du-Ch%C3%A2tellier-%C3%A0-R%C3%A9malard

     

         « Les restes de la forteresse (butte du Château) furent détruits par les Anglais au cours du 15e siècle. Les derniers vestiges furent rasés vers 1820, et utilisés comme remblais et pour la construction de maisons rue des Moulins. » [2]

     

          « Le bourg a conservé beaucoup de charme, avec ses petites rues (rue du Tripot, rue des Galants, rue Saint-Roch, rue de Mortagne) et places anciennes (place Saint-Roch, place du Général-de-Gaulle, place du Petit-Marché, etc.), organisées autour de la butte du château (motte de 1077). Il subsiste quelques maisons de caractère (la mairie et sa tourelle, l'ancien presbytère, le Chêne Vert, etc.). » [2] 

          Motte castrale du Château, au centre de Rémalard, inscrite au titre des Monuments historiques depuis le 17 novembre 1994. [NdB]

     

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    Ci-dessus : vues aériennes de la ville de Rémalard extraites du site Géoportail.

     

         « Située sur la rive gauche de l'Huisne, entre Mortagne et Nogent-le-Rotrou, la ville de Rémalard s'étend sur les coteaux dominant la vallée. Le château se trouve au droit d'un pont qui franchit la rivière mais qui, au Moyen Age, était un simple gué. L'étymologie de Rémalard est traiteurs « le mauvais gué » (Ritum ad male sirum). Une grosse motte subsiste à l'extrémité d'un éperon et la topographie urbaine laisse facilement deviner le plan de la forteresse comprenant une vaste basse-cour qui s'étendait sur le plateau, vers l'Est.

         Ce château est célèbre pour avoir été assiégé, en 1077, par Guillaume le Conquérant. lorsque son fils, Robert Courteheuse, révolté contre lui, s'y enferma avec le seigneur de Châteauneuf-en-Thimerais qui tenait cette forteresse de Rotrou II, seigneur de Nogent et comte de Mortagne. Guillaume bloqua la place en faisant élever autour de Rémalard des ouvrages fortifiés (mottes ou enceintes). Ces évène­ments sont relatés dans une page bien connue d'Orderic Vital.

         Les vestiges du « bourg castral » sont encore bien visibles. Au pied de la basse-cour, ou plutôt de son emplacement, existe une petite place triangulaire qui portait encore récemment le nom de place des halles et où se trouvait jusqu'au 18e siècle une halle couverte. Cette place est encore aujourd'hui la place du marché. De là, par une longue rue qui fut sans doute l'axe du développement urbain : le cadastre montre encore clairement la disposition régulière des petites parcelles, de part et d'autre, sur lesquelles les « bourgeois » purent édifier leurs maisons. A l'extrémité se trouve une église romane (12e siècle) dont la dédicace à saint Germain d'Auxerre indique probablement une origine remontant au haut Moyen Age. Prés de l'église, se trouvait un prieuré dédié à saint Roch, autre élément classique du « bourg castral ». [3] 

     

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         « Arrivé sur les lieux, le roi Guillaume fit aussitôt tout disposer pour l'attaque, et ne négligea aucun moyen pour triompher des rebelles. Comme la place était forte et vaillamment défendue par la garnison que commandait Guilfrid, fils du sire de Villeray, Guillaume, pour empêcher qu'aucun auxiliaire ne vint secourir les assiégés pendant le siège, fit élever autour et à quelque distance de Regmalard quatre châteaux fortifiés, où il plaça des garnisons intrépides, chargées d'arrêter les troupes qui se présenteraient pour seconder les rebelles. Ces quatre forts auxiliaires, dont on voit encore des restes considérables, - l'abbé Fret écrivait en 1840 - étaient situés comme il suit :
         Le premier, au levant, à la Ganneterie, en Dorceau, où existe encore une tour très forte et très élevée.
         Le second, au sud, était dans la commune de Bellou, au lieu nommé la Butte ; il en reste encore un cavalier ou élévation en terre, entouré de retranchements ou fossés, dans lesquels l'eau séjourne.
         Le troisième, situé au couchant, porte le nom de Châtellier, Castellum ; on y voit aussi un cavalier environné de fossés ; on a bâti depuis sur cette éminence artificielle.
         On pense que le quatrième, situé au nord, pouvait être placé sur la pente des Bois-Clairs, position fort avantageuse.
         Tous ces forts étaient parfaitement situés et adroitement distancés entre eux et Rémalard. D'après les derniers renseignements que je viens d'avoir, les choses sont encore dans l'état où elles se trouvaient en 1840.
         Malgré ces dispositions, malgré la valeur et l'habileté du roi Guillaume et l'intrépidité de ses troupes, les rebelles avaient tellement fortifié la place et si bien munie de vivres, d'armes et de défenseurs qu'elle paraissait devoir apporter une résistance aussi longue qu'opiniâtre, quand un incident imprévu en vint accélérer la prise, au moment où l'on y pensait le moins.
         Voici comment Ordéric Vital raconte le fait.
         Aimery ou Hémeric de Villeray, premier du nom, ennemi du Conquérant, favorisait les rebelles et les avait reçus dans son château. Sorti de l'enceinte, accompagné de trois chevaliers, il allait par honneur reconduire le Grand Maître de l'hôtel du roi de France, Philippe Ier, et se trouvait déjà à quelque distance de son manoir, quand quatre cavaliers de l'armée de Guillaume, qui chevauchaient aux alentours, vinrent à l'apercevoir. Comme ils le connaissaient pour un antagoniste de leur maître, ils se précipitèrent sur lui, le cernèrent et le massacrèrent. Joyeux de cette prouesse, d'une grande importance dans la circonstance, ils chargèrent son cadavre sanglant de travers sur un de leurs chevaux et le conduisirent ainsi à Regmalard. Arrivés sur les lieux, ils le jetèrent aussitôt devant la tente de Roger de Montgommery, père de Robert de Bellême, et fidèle allié du Conquérant.
         La nouvelle de ce massacre ne tarda pas à parvenir aux oreilles du commandant de la place, Guilfrid 1er de Villeray, fils de la victime. La mort si tragique de son père fit sur lui une telle impression qu'elle paralysa son ancienne énergie.
         Craignant un semblable sort s'il succombait dans la lutte, comme il était plus que probable, il ne jugea pas à propos de prolonger plus longtemps la résistance.
         Convaincu que de tels hommes ne lui feraient pas de quartier, il parlementa et rendit la place au roi Guillaume, dont il devint un des plus fidèles partisans.
         La reddition du château de Regmalard mit les rebelles sans ressources et rendit la paix au pays. Maître de la forteresse, le Conquérant la céda sans doute au comte du Perche ou à quelqu'autre seigneur ; mais elle ne rentra jamais au pouvoir des seigneurs de Châteauneuf. (Chroniq. percher., t. III, p. 441 et suiv.)
         Le château-fort fut détruit par les Anglais en 1428 sur l'ordre de Warwich au moment de son départ pour le siège d'Orléans. Sa place fut longtemps marquée par une butte de terre qui disparut elle-même vers 1820. " [5]

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    Les " forts " aux environs de Rémalard :

     

    LES REMPARTS DE REMALARD (Orne)

     

     Ci-dessus : plan montrant l'implantation des mottes édifiées par le duc Guillaume de Normandie lors du siège de Rémalard en 1077 extrait du site http://blogs.etab.ac-caen.fr/ecole-remalard/index.php/post/2013/06/13/Les-CM1-visitent-la-motte-f%C3%A9odale-du-Ch%C3%A2tellier-%C3%A0-R%C3%A9malard

     

         La butte du Châtellier :

     

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    Ci-dessus, à gauche photo extraite de http://www.ornetourisme.com/tourisme/patrimoine/remalard-en-perche_motte-castrale-du-chatellier_19__PCUNOR061FS000AO.htm; au centre photo extraite dec https://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Remalard_motte_castrale_le_chatellier.JPG ; à droite photo extraite du site Géoportail.

     

          La butte du Châtellier est l'un des lieux où aurait été érigée l’une des quatre hautes tours de bois destinées à surveiller la place forte de Rémalard, assiégée en 1077 par Guillaume le Conquérant. Motte castrale du Châtellier, à l'extérieur du bourg, inscrite au titre des Monuments historiques depuis le 17 novembre 1994. (NDB)

     

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         La tour de la Guénetterie à Dorceau :

     

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    Ci-dessus, une photo de la tour de Dorceau extraite de https://itinerairesduperche.org/le-perche/etape-2-remalardmoutiers-au-perche/ 

     

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         Je n'ai trouvé que peu d'informations sur la belle tour qui se dresse à la Ganneterie ou Guénetterie sur la commune de Dorceau. Est-ce sur son emplacement que Guillaume le Conquérant établit-il un des quatre " forts " lors du siège de Rémalard en 1077 ? [NdB]

     

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         La butte de Bellou-sur-Huisne :

     

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    Ci-dessus une vue aérienne du site de la motte de la Butte à Bellou-sur-Huisne, photo extraite du site Géoportail.  

     

    Sources :

     

    [1] Extrait de http://www.perche-gouet.net/histoire/index.php?commune=61345-00

    [2] Extrait de Wikipédia

    [3] Extrait de Anglo-Norman Studies XVII : Proceedings of the Baffle Conference 1994 par Christopher Harper-Bill - Boydell & Brewer Ltd, 1995 - 266 pages.

    [4] Extrait de http://blogs.etab.ac-caen.fr/ecole-remalard/index.php/post/2013/06/13/Les-CM1-visitent-la-motte-f%C3%A9odale-du-Ch%C3%A2tellier-%C3%A0-R%C3%A9malard

    [5] Extrait du Bulletin de la Société percheronne d'histoire et d'archéologie...Bellème 1907-01-15 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62826952/f21.item.r=%22Dorceau%22.texteImage

    [6] Extrait de l'article " La motte comme moyen de conquête du sol et comme instruments de la seigneurie châtelaine (11e-12e siècles) L'exemple de quelques châteaux à motte du Perche " par Joseph Decaëns in aux sources de la gestion publique, tome III Hommes de Pouvoir Ressources et lieux du Pouvoir 5e-13e siècles - Actes du Colloque des 26 et 27 Janvier 1997 organisé par le CAHMER (Amiens) le CREDHIR (Lille) l'U.F.R. d'Histoire de l'Université d'Artois et le Centre d'Histoire du Moyen Âge des Universités catholiques de Lille et Paris https://books.google.fr/books?id=aRN5zQRHeGgC&pg=PA263&lpg=PA263&dq=L%27exemple+de+quelques+ch%C3%A2teaux+%C3%A0+motte+aux+sources+de+la+gestion+publique,+tome+III&source=bl&ots=B7Fdoh7x4Z&sig=ACfU3U1KnX4QAcXcCVkJ9pioVhrcx9AELg&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiD47SnxcP2AhVSUhoKHWGXCnYQ6AF6BAgfEAM#v=onepage&q=L'exemple%20de%20quelques%20ch%C3%A2teaux%20%C3%A0%20motte%20aux%20sources%20de%20la%20gestion%20publique%2C%20tome%20III&f=false

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