• LES REMPARTS DE VARENGUEBEC (Manche)

    LES REMPARTS DE VARENGUEBEC (Manche)     Une motte castrale se trouve dans le bois de Limors sur la commune de Varenguebec (Manche) en limite de la commune de Vindefontaine. Elle porte le nom de motte de Limors, butte Colbec, butte Bertrand, butte aux Sieurs, butte des Lieurs, butte Sauvage, butte Aignaux ou Montenio et a fait l'objet de plusieurs légendes. [NdB]

     

    Ci-dessus, photo aérienne (1950-1965) de la motte du bois de Limors extraite du site Géoportail.

     

          « Dans un ravin coule le ruisseau Colbec, qui divise Varenguebec de Vindefontaine. D'un côté de ce ravin, sur Varenguebec, il existe une butte nommée indifféremment la Butte Sauvage, la Butte des Lieurs, la Butte Bertrand. Cette butte, très étendue, parfaitement ronde, et entourée de fossés, était, il y a quelques années, couverte d'arbres. De l'autre côté de ce ravin,sur Vindefontaine, se trouve un bois taillis, appelé le bois Colbec. Ce mot Colbec, en langue tudesque, signifie passage de la Butte ; et le mot Varenguebec, composé des trois mots ware, bataille, inge, champ, et bec, butte, veut dire butte du champ de bataille. » [1]

     

          « A proximité des marais de la Douve, sur le territoire de la commune de Varenguebec (célèbre pour ses fastueuses fêtes folkloriques), le bois de Limors (487 hectares) s'étale sur une motte de terre à sommet aplani (appelée motte de Limors, butte Colbec, butte Bertrand ou butte aux Sieurs), sur laquelle se dressait jadis un château de bois dont il ne survit aucune trace. » [2] 

     

    LES REMPARTS DE VARENGUEBEC (Manche)    LES REMPARTS DE VARENGUEBEC (Manche)

     

    Ci-dessus, plan de situation de la motte de Limors à Varenguebec ; blason de la famille d'Harcourt dont des membres furent barons de Varenguebec au 15e siècle (la motte de Limors se trouve sur le territoire de la paroisse de Varenguebec) par User : Spedona Cette image a été réalisée pour le Projet Blasons du Wikipédia francophone. — Travail personneliLe code de ce fichier SVG est valide.Cette image vectorielle a été créée avec Inkscape par User:Spedona., CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=2697928

     

    LES REMPARTS DE VARENGUEBEC (Manche)      « Varenguebec, canton Saint-Sauveur-le-Vicomte. — Lieu-dit : L'Andruerie. — Parcelle cadastrale : A 2. — Coordonnées Lambert : 189, 50-324, 10. — Fief : La Haye. Assez loin du château, sur la terre de l'Andruerie, à l'est du bois de Limors, un tertre factice, nommé la Butte Bertrand, ancien tumulus ou peut-être emplacement du château (Gerville C., 1825, t. II, 200).

          Au lieu-dit l'Andruerie, en bordure du bois, on voit une forte motte appelée aujourd'hui le Montenio par les habitants du hameau voisin. Cette motte de forme conique a été éventrée au 19e siècle par des chercheurs de trésor. Elle n'en demeure pas moins imposante. Elle est très ramassée, d'une dizaine de mètres de haut, et à peu près dix-huit mètres de diamètre au sommet. Elle est entièrement entourée d'un fossé de deux mètres de large et de un mètre cinquante de profondeur. Elle est située en bordure d'un ruisseau qui alimente un peu plus au nord la rivière l'Ouve. Sa basse-cour peu visible sur le terrain, en raison du parcellaire d'une part et du bois d'autre part, semble se développer au sud-ouest. » [3]

     

    Les Légendes de la Butte des Sieurs, à Varenguebec

     

    LES REMPARTS DE VARENGUEBEC (Manche)       « De nombreuses légendes trainent autour des landes, « vastes étendues sèches et arides, ces lacunes de culture, ces places vides de végétation, ces déserts nus traînent » comme les décrivait Jules Barbey d’Aurevilly, ainsi qu’aux lisières des marais, « bas-fond limoneux, boueux et instables, souvent noyés de brumes vaporeuses », royaume « des bergers errants et des pâtres bohémiens, porteurs de pouvoirs malfaisants » qui rôdaient sur ces terres perdues, à l’affût de quelque mauvais coup d’un sort à jeter à quelque pauvre bougre égaré sur ces terre inhospitalières (1).

            C’est sans doute dans ces conditions particulières qu’est née, un jour, la légende de la Dame Blanche que l’on retrouve dans de nombreuses régions. Elle est utilisée par exemple par notre célèbre connétable des lettres normandes, principalement au début de L’Ensorcelée, ce roman extraordinaire qui est déjà en soi une magnifique légende (1).

             C’est ainsi que l’on doit à Émile Énault, ancien maire de Saint-Lô, et frère de François Énault de Varenguebec, auteur du livre en langue normande Les propos de Jean Frinot, humoriste et caricaturiste, cette très belle légende parue en 1903 dans la revue Le Bouais-Jan, intitulée : Légende de la Butte des Sieurs, à Varenguebec. Il écrit : « Bien des gens ont aperçu, le soir, des fantômes blancs, dans la lande de Morte-Femme (un lieu très évocateur) des flammes légères qui voltigent ça et là sans rien consumer et qui s’évanouissent brusquement : ce sont les âmes des victimes égorgées par les Sieurs (sortes de bandits de grand chemin qui avaient établi leur repaire sur cette butte mystérieuse, à l’extrémité du Bois de Limors, aux confins de Vindefontaine et des Moitiers-en-Bauptois) qui reviennent maudire leurs bourreaux. La pauvre captive erre chaque chaque nuit sur les bords du Colbec (ruisseau qui sépare Varenguebec et Vindefontaine) au puits des Drouves (situé sur la butte des Sieurs). » (1)

             Cette jeune fille avait été capturée par des Sieurs en question, lors d’un combat qui les opposait aux seigneurs de Varenguebec. Retenue en captivité, elle avait été bien traitée par ses geôliers, en égard à sa grande beauté. Mais un des jeunes sieurs s’étant épris d’elle, elle réussit à échapper à la vigilance de ses gardiens. Ceux-ci aussitôt firent courir le bruit que pour s’échapper, elle s’était livrée corps et âme à ses geôliers et elle fut rejetée par les siens. Elle erra dans la forêt, poursuivie par ses propres pairs et finit par se pendre à un chêne avec sa ceinture. Les Sieurs la retrouvèrent et allèrent la jeter dans les douves du château : « la robe blanche de la Vierge flotta tout le jour sur les eaux sombres, comme une colombe foudroyée par l’orage… ». Elle fut enterrée sans croix ni oraison dans un coin de la lande voisine, appelée depuis lors « Lande de Morte-femme » (1).

    (1) Jean-François Hamel, sous la direction de René Gautier, Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche, tome 3, Éditions Eurocibles, Marigny. ISBN 2914541171 [4]

     

    Ci-dessus, une photo aérienne extraite du site Géoportail.

     

    LES REMPARTS DE VARENGUEBEC (Manche)     « Une autre légende a jadis fleuri concernant la butte Aignaux appelé aussi « Butte des Sieurs » nous avons vu pourquoi précédemment. Depuis des temps immémoriaux on cherche toujours le trésor  des Sieurs qui serait contenu dans une Kanne d’or c’est à dire un gros pot à lait rempli d’objets d’or. Une fortune convoitée. 

         Le tertre a dû être fouillé copieusement si l’on en juge par la plaie béante située en son milieu.
         En ce temps là vivaient près de l’église de Varenguebec deux jeunes gens de condition modeste qui s’aimaient follement et qui répondaient au doux nom de Marie et Jehan.

         Depuis un certain temps, leur liaison était connue de tout le village et la bonne du curé que l’on disait mauvaise langue, ne manquait pas de dire à toutes occasions qu’elle n’appréciait pas cette liaison. Pauvre Marie, Pauvre Jehan !

         On approchait de Noël, cette grande fête religieuse qui rassemble  le peuple de Dieu.
         - Après Noël, je serai riche dit un soir Jehan à son amie et de lui confier que la nuit de Noël, il se trouverai à minuit sur la Butte des Sieurs, à l’endroit où apparait le grand chien nommé Radja qui garde le trésor de la Kanne d’or. Il détournerai son attention car le soir de Noël les animaux vont boire dans le plus proche ruisseau et il s’approprierai le trésor.

         La nuit de Noël arriva… Jehan  dans la soirée partit vers le lieu de son rêve, la Butte des Sieurs, pendant  que sa douce amie se rendait à l’église paroissiale. Quel bel office ! Après que le prêtre eut parlé de la naissance de l’enfant Jésus, les trois chantres revêtus de leur chape brodée d’or entonnèrent les chants latins : te deum, le dominus et pour terminer  conclurent par le ite missa est ! auquel répondit toute l’assistance.

         A peine l’office terminé, Marie sortit rapidement pour rejoindre son ami. Impatiente, effrayée, courant plus que ne marchant, elle suivit le chemin du Colbec et arriva à la Butte des sieurs. Elle appela son ami… hélas ! aucune réponse ne lui parvint. Eplorée, malheureuse, jusqu’au matin elle chercha Jehan disparu.
         Dans la matinée, un berger allant faire paître ses moutons sur la lande, découvrit le corps inanimé de la petite Marie morte par amour.

         Depuis lors, par certaines journées de brume, on peut deviner sur la lande, l’âme des deux fiancés à la recherche l’une de l’autre. [5] 

     

    Ci-dessus, carte géologique extraite du site Géoportail.

     

    A proximité :

     

    O Le château disparu de Varenguebec

     

    LES REMPARTS DE VARENGUEBEC (Manche)     " Après nous être écartés de la route de Saint Sauveur à Lessay, pour examiner un angle du canton de la Haie-du-Puits qui semble devoir plutôt appartenir à celui de Saint-Sauveur revenons sur nos pas vers le levant et dans une paroisse limitrophe de l'arrondissement de Valognes. Le château de Varenguebec est le premier où nous ayons à faire des recherches.
          Ce château jadis plus important que le précèdent n'offre pourtant pas un emplacement aussi curieux mais les renseignements sur la suite de ses possesseurs sont bien plus abondants.
          Beaucoup de ses anciens titres subsistent encore au chartrier de Coigny et plusieurs ouvrages imprimés donnent des détails sur ses seigneurs.
          Raoul d'Évreux, seigneur de Gacé (Vacy où Vassy) et de Varenguebec connétable de Normandie était un des tuteurs ou gouverneurs du duc Guillaume, qui conquit l'Angleterre. Il remplissait les fonctions de cette charge difficile, environ trente ans avant l'expédition qui rendit son pupille le plus puissant-Roi de l'Europe (Hist. des Grands Officiers de la couronne, tom. II pag. 477. Guill. Gemet. Lib. VII. Apd. script. Norman. Collect. pag. 268, 9, et Lib. VIII cap. XVII. Ibid pag. 301.).


    LES REMPARTS DE VARENGUEBEC (Manche)      A cette époque mémorable la seigneurie de Varenguebec appartenait à la famille de Reviers, alliée de très près à celle du conquérant. J'en ai parlé au chapitre de la baronnie de Néhou (V. Sup. n°. 9. Grands Officiers de la couronne, tom. II Pag. 491, 2' 79- 2).
    Dans le siècle suivant, Mathilde de Vernon ( Reviers ) dame de Varenguebec épousa son cousin Richard de la Haie-du-Puits. Ils fondèrent conjointement l'abbaye de Blanchelande et le prieuré de Saint-Michel-du-Bosc (Gall. Christ, tom. XI, col. 945, 6. – Neustria pia, pag. 842 et seq.). L'emplacement de ces deux monastères fut pris sur le territoire de la seigneurie de Varenguebec.
          En mourant ils laissèrent trois filles héritières de leurs vastes domaines Gillette, une d'elles épousa Richard du Hommet, et lui apporta en mariage la baronnie de Varenguebec,et le titre héréditaire de connétable de Normandie qui y était attaché.
          Après avoir appartenu à plusieurs générations successives de la famille de Hommet, cette baronnie tomba une seconde fois en quenouille.
          Robert de Mortemer, qui mourut en 1277 la possédait au nom de sa femme Julienne ( ou Nicole) une des héritières de Jourdain du Hommet (V. Sup. article de la Luthumière, dans les Mémoires de la Société des Antiquaires, première année.).
          A la mort de Robert de Mortemer, Varenguebec passa par Jeanne sa fille à son mari, Guillaume Crespin maréchal de France qui avait suivi le roi St.-Louis à la croisade d'Afrique, en 1270.
          Le titre de connétable fut le sujet d'une grande contestation entre les trois filles de Jourdain du Hommet, mariées toutes trois. En 1294, il fut reconnu que ce titre appartenait à la baronnie de Varenguebec (Hist. des Grands Officiers de la couronne, tom. VI, p. 634). Guillaume Crespin fils de celui qui avait épousé Julienne du Hommet mourut en 1330, ne laissant encore que des filles.
          Jeanne qui était l'aînée, se maria en 1334, à Guillaume de Melun, comte de Tancarville et lui apporta entre autres seigneuries la baronnie de Varenguebec.
          Pendant deux siècles, vous voyez que cette châtellenie passe cinq fois en quenouille. Le 14e siècle n'était pas encore écoulé et déjà une autre fille l'avait portée dans la famille d'Harcourt.
          En 1381, Guillaume d'Harcourt, comte de TancarviIIe rendit au roi l'aveu de ses fiefs et entre autres de la baronnie de Varenguebec.
          Dans cet acte il prend le titre de connétable hérédital de Normandie (Laroque Hist. de !a maison d'Harcourt, pag. 4. ibidem pag. 716 et 17.).
          Pierre abbé de Blancheiande rendit, en 1452 à Guillaume d'Harcourt, seigneur de Tancarville, connétable héréditat de Normandie, un aveu pour son abbaye.
          Peu d'années après, Jeanne de Carbonnel, supérieure de Saint-Michel-du-Bosc, lui rendit aussi aveu pour son couvent, situé à Varenguebec, dont il représentait le fondateur comme possesseur de cette baronnie (Laroque Hist. de la maison d'Harcourt, pag. 718).
          Jeanne d'Harcourt, baronne de Varenguebec, mourut sans postérité en 1488 après avoir légué tous ses biens à François d'Orléans, comte de Dunois, son cousin (Hist. des Grands Offic. de la couronne, tom. V, pag. 137 ).
          Après ce temps et particulièrement depuis le commencement du règne de François Ier jusqu'en 1565 cette baronnie fut possédée par la famille d'Orléans Longueville et faisait partie du comté de Tancarville (Archives de Varenguebec au château de Coigny.).
          En 1565, Léonor d'Orléans, duc de Longueville et d'Estouteville connétable hérédital de Normandie, donna cette seigneurie à François de Rothelin, son frère naturel, se réservant pour lui et ses successeurs les titres honorifiques tels que celui de connétable et les prérogatives qui y étaient attachées (ibidem).
          En compulsant les archives du château de Varenguebec, j'ai trouvé dans presque tous les actes de ce siècle, Henri ou Henri-Auguste d'Orléans, marquis de Rothelin baron haut justicier de Varenguebec, premier baron de Normandie seigneur de Cretteville Beuzeville etc.
          En 1695, suivant l'état de la généralité de Caen dressé par M. de Foucault intendant de cette généralité la baronnie de Varenguebec appartenait à la duchesse de Nemours et au marquis de Rothelin. En 1726,elle était encore au marquis de Rothelin (Hist. des Grands Offic. de la couronne, tom. II, pag. 224).
          Vers 1740, cette baronnie fut achetée par M. le comte de Coigny elle fut peu de temps après réunie au duché de Coigny dont l'érection se fit au mois de février 1747 en faveur de François de Franquetot comte de Coigny. maréchal de France (Je possède une copie imprimée des lettres d'érection.).
          Depuis ce temps, la haute justice de Varenguebec avait été transférée à Coigny. En 1784, elle le fut de nouveau à Prétot, dont le duc de Coigny venait de faire l'acquisition. Elle y était encore au commencement de la révolution (Archives de Prétot au château de Coigny. ).
          Sous le règne de Philippe-le-Bel la baronnie de Varenguebec donnait la septième place à l'échiquier de Normandie, parmi les barons du Cotentin (Masseville, tom, III, pag. 44.–Laroque, Harcourt, page 160.).
          Je ne vois pas que le château ait jamais soutenu de siège il était situé à cinq cents mètres environ au levant de l'église sur un terrain qui s'élève en pente douce de ce côte. On ne peut pas dire qu'il soit sur un terrain escarpe, ni qu'on ait particulièrement cherché à en rendre les approches difficiles sinon peut-être du côté des douves et des étangs.
          L'enceinte formait un parallellogramme assez spacieux, fermé de murs épais, flanqués de tours, dont il est encore aisé de reconnaître l'emplacement. La plus considérable de ces tours (probablement le donjon) était sur l'emplacement de la boulangerie actuelle.
          Le bâtiment appelé la prison qu'on voit encore au centre de l'enceinte est bien plus moderne que le reste. C'était tout au plus une prison provisoire de la haute justice. Rien ne porte à croire qu'il ait été construit exprès pour une maison de détention.
          Il y avait aussi dans cette enceinte une chapelle dédiée à St.-Gilles dont il ne reste plus rien.

          Tous les remparts sont démolis il en reste peu de traces hors de terre mais on en peut aisément reconnaître la périphérie. D'ailleurs elle est bien figurée .sur le plan de la paroisse levé en 1754, qui se trouve au chartrier de Coigny, et dont M. Gallemand receveur du château a bien voulu me procurer un calque. Je le prie de recevoir ici tous mes remerciements pour l'extrême complaisance qu'il a mise à faciliter toutes les recherches que j'ai eu besoin de faire aux archives du château de Coigny.
          Des maisons manables dont il ne reste plus qu'une habitation de fermier formaient au levant une seconde enceinte contigue àla première deux tours défendaient l'entrée de cette espèce d'avant-cour de la forteresse.
          L'ancien siège de la haute justice n'avait rien de remarquable il était au dehors de l'avant-cour, vers le levant, à une très-petite distance.
    Nota. Il se trouve à une assez grande distance du château sur la terre de l'Andruerie, au levant du bois de Limor, un tertre factice nomme la butte Bertrand, qui peut avoir été un Tumulus, ou peut-être l'emplacement d'un château. J'ai cru devoir l'indiquer ici. " Charles de Gerville
    [6] 

     

     

    Sources :

     

    [1] Extrait de l'Annuaire du Département de la Manche, Volume 30, Julien Gilles Travers ; J. Elie, 1858. https://books.google.fr/books?hl=fr&output=text&id=NUwXAAAAYAAJ&q=butte#v=snippet&q=butte&f=false

    [2] Extrait de Bois et forêts de Normandie par Jean-Marie Foubert ; éditeur :  Corlet (Condé-sur-Noireau) ; date d'édition : 1985.

    [3] Extrait de Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (10e-12e siècles). Étude historique et topographique par Delacampagne Florence In : Archéologie médiévale, tome 12, 1982. pp. 175-207 ; doi : https://www.persee.fr/doc/arcme_0153-9337_1982_num_12_1_1086

    [4] Extrait de https://www.wikimanche.fr/L%C3%A9gende_de_la_Dame_blanche

    [5] Récit de Monsieur Asseline de Vindefontaine dans les années 2000. Extrait de http://varenguebecterredhistoireetdelegendes.unblog.fr/2018/02/08/la-kanne-dor/

    [6] Extrait de « Sur les Châteaux de la manche » Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie ; auteur : Société des antiquaires de Normandie. Éditeurs : Mancel (Caen)/Ponthieu et Delaunay (Paris) ; date d'édition : 1825 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2000414/f244.item.r=Limors

    voir aussi : http://le50enlignebis.free.fr/spip.php?article10030 ou https://books.google.fr/books?id=NUwXAAAAYAAJ&hl=fr&pg=PP1#v=onepage&q&f=false

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