• LES REMPARTS DU CHÂTEAU-D'ALMENÊCHES (Orne)

    LES REMPARTS DU CHÂTEAU-D'ALMENÊCHES (Orne) LES REMPARTS DU CHÂTEAU-D'ALMENÊCHES (Orne) LES REMPARTS DU CHÂTEAU-D'ALMENÊCHES (Orne)

     

    Au centre, photo aérienne extraite du site Géoportail ; à droite, photo extraite du site Google Map.

     

         Le village d'Almenêches a possédé un monastère de femmes issu du plus petit des deux monastères fondés dans la région par saint Évroult au 7e siècle, celui gouverné par sainte Lanthide, tante de sainte Opportune ne fut pas relevé. Seule la petite communauté du Monasteriolam de sainte Opportune, sœur de saint Godegrand, évêque de Sées sera restaurée après avoir été détruite par les Normands. L'abbaye d'Almenêches est restau­rée en 1070 par Roger de Montgommery, vicomte d'Exmes, et sa femme Mabile. Ceux-ci possédaient le châ­teau voisin d'Almenêches qui contrôlait le gué sur la rivière Don.

         Le village de Château-d'Almenêches conserve une « motte castrale », vestige du château des Montgommery. Une butte est, en effet, conservée au nord de ce village le long de la D.238 vers les ponts sur le Don. Le château médiéval existait au voisinage de cette butte, elle-même parfois décrite comme un tumulus.

         Difficile donc de trancher : cette butte, point haut, est-elle un tumulus intégré au château des Montgommery ? Tumulus qui serait devenu, de fait, la motte supportant la tour d'observation du château médiéval ?...   

         L'enquête continue... [NDB]

     

    LES REMPARTS DU CHÂTEAU-D'ALMENÊCHES (Orne)     LES REMPARTS DU CHÂTEAU-D'ALMENÊCHES (Orne)

     

     Plan de situation du château d'Almenêches d'après une reconstitution du plan du château de Château-d'Almenêches par  Robert du Mesnil du Buisson dans Au Pays d’Argentelles de janvier-mars 1977 ; blason de la famille de Montgommery dessiné par O. de Chavagnac pour l'Armorial des As. http://dechav.free.fr/armorial/blason.php?id=Montgommery_Normandie 

     

    Un tumulus ?

     

    1884 : « AlmenêchesTumulus.

     

    LES REMPARTS DU CHÂTEAU-D'ALMENÊCHES (Orne)     En quittant Almenêches et en prenant, près de l'école, le chemin du Château, après avoir passé le Don, on parvient au hameau situé à 900 mètres du bourg, Sur la rive gauche de la rivière, au bord du chemin vicinal et dans l'ange d'un pré, se voit un tumulus situé à droite, vers le Sud, tandis qu'à l'Est, se trouve le camp désigné sous le nom de Château, en souvenir de la forteresse des Montgommery.

     

    Ci-dessus, carte des années 50 extraite du site Géoportail.

     

         En enlevant de la terre aux talus, au Sud et à l'Ouest, on a trouvé des ossements humains et des silex taillés.

         Le tumulus est au Sud du château, auprès du chemin vicinal. A l'Ouest, au Nord et à l'Est, le monument est encore entouré de fossés qui communiquaient avec le fossé principal du camp.

         La forme du tumulus est celle d'une calotte qui porte le nom de Large ; sa longueur totale, du N. au S. est d'environ 35 mètres, sa largeur est de 4 mètres au sommet, de 8 à 10 mètres à la base et sa hauteur de 9 mètres au-dessus du fossé oriental. La partie culminante présente un affaissement, vers son milieu, mais chacune des deux extrémités, en particulier celle du Sud, offre un renflement considérable, qui servait sans doute de poste d'observation aux guerriers gaulois. De ce point isolé, on domine le Château et la vallée du Don ; au Nord, on distingue Almenêches, le camp de la Butte, la forêt de Gouffern et le château de la Motte ; au Sud, le camp du Châtellier et le château de Blanche-Lande. (...)

         Lorsqu'on construisit le chemin vicinal qui avoisine le tumulus du Château, la tranchée avait six mètres de profondeur en cet endroit ; à chaque coup de pioche, les ouvriers ramassaient des ossements humains. » [1]

     

    Histoire du château d'Almenêches

     

    LES REMPARTS DU CHÂTEAU-D'ALMENÊCHES (Orne)     « L'ancien pays de Sées vit construire par Talvas bien d'autres forteresses entre lesquelles furent réparties, pour en former des châtellenies, une soixantaine de paroisses. Des fiefs y furent crées en vue du service militaire de ces places fortes. A six lieues à l'est d'Alençon, au Mesle, fut élevé un château destiné à défendre le pont de bois qui fut jeté là sur la Sarthe pour unir cette région au Bellèmois. A deux lieues, au nord-ouest du Mesle, un autre château s'éleva à Essai sur une colline, un autre domina la butte de Boitron. Ils devaient couvrir la ville épiscopale de Sées, située à moins de deux lieues, qui avait elle-même sa forteresse. Enfin, sur la ligne séparative des possessions de Talvas et du comté d'Hiémois, fut peut-être bâti, à deux lieues au nord de Sées, le château d'Almenêches. Autour de ces points de résistance se groupaient les manoirs, ordinairement susceptibles de défense, des seigneurs particuliers. » [6] 

     

    Photo ci-dessus extraite du site Google Map.

     

         « Nous savons cependant que Roger de Montgommery accompagnera Guillaume le Conquérant à Hasting en 1066 de qui il recevra une abondance de terres en Angleterre et ecclésiastiques en Normandie, situées dans tout le secteur du Hiémois, chargeant Mabille de Bellême, pendant l’absence de son époux, de veiller aux marches de Normandie. Lucien Musset [8] nous dit qu’Almenêches fut l’un des fiefs et l’un des châteaux essentiels des Montgommery, vicomte d’Exmes, qui sera le restaurateur des abbayes détruites sous les parents des Montgommery, comme Troarn, Saint-Martin-de-Sées et Almenêches qui seront refondées par ses ordres nous dit Guillaume de Jumièges. (…)

             Après la conquête de l’Angleterre Roger de Montgommery préfèrera s’établir en Angleterre laissant ses fils Robert et Arnoult en Normandie ; ils s’y déchireront en guerres cruelles, d’abord pour eux-mêmes puisqu’ils s’opposeront au duc de Normandie qui prononcera leur « disgrâce » comme le dit élégamment M. Eric Yvard, mais aussi pour tout le pays : « Tout le pays est en feu, les partis se choquent sur mille points différents, les villes sont dépeuplées, les églises brûlées. Les environs de Sées sont en proie aux plus terribles violences. Arnoult de Bellême [14] livre au duc le château d’Almenèches, l’abbaye est envahie, les lieux saints sont convertis en écuries ; Robert accourt à cette nouvelle et comble la mesure de ces malheurs en mettant le feu au monastère (1102). Alors les religieuses sont obligées de se disperser… Emma avec trois de ses sœurs, s’enfuit à Saint-Evroult » [15] nous rapporte Henri Beaudouin. (…) » [2]

     

    LES REMPARTS DU CHÂTEAU-D'ALMENÊCHES (Orne)     « Arnould de Bellesme avait été chassé d'Angleterre comme complice de son frère Robert, et celui-ci lui refusait sa part dans les biens que leur maison possédait en Normandie. Arnould, dénué de tout, avait eu recours au duc, avait gagné quelques troupes de son frère, et avec leur aide lui avait pris le château d'Almenèches qu'il avait remis à Courte-Heuse. Mais cette prise fut mal gardée ; Robert de Bellesme vint promptement l'assiéger, y jeta des feux d'artifice, brûla le château et l'abbaye qui était auprès, fit quelques prisonniers et tailla en pièces le reste de la garnison : ceci se passait vers le mois de juin 1102. » [3]

     

    Photo ci-dessus  extraite du site https://drive.google.com/file/d/1-bMGazwfewljwJP7WcAgZKdOqFlLwLCE/view

     

         « Ela ou Ala d'Alençon (...)  fut en outre propriétaire des seigneuries de Mortrée , de la Roche-Mabile et d'Almenèches. (…) Ela, veuve sans enfants, mena une vie retirée, consacrée aux bonnes œuvres; entre autres, elle dota l'hôpital deMortrée, érigé sur son domaine.
    Sa résidence habituelle fut le château d'Almenèches, dont elle porta le nom, aux portes duquel s'élevait le monastère de Bénédictines, relevé de ses ruines par un de ses ancêtres, le célèbre Roger de Montgommery. Nous sommes porté à croire, sans toutefois l'affirmer, qu'Ela termina ses jours dans le sein de cette communauté, sinon en qualité d'abbesse, du moins comme simple religieuse, vers l'année 1233. Après sa mort, les terres d'Écouché, de Mortrée, d'Almenèches et de La Roche-Mabile passèrent à son neveu, Aymery de Châtellerault. » [5] 

     

         « L’abbaye fut reconstruite après chaque destruction et se maintint envers et contre tout ; il n’en fut pas de même pour leur château dont seules des fouilles jamais entamées jusqu’à ce jour - le dernier projet date des années 1960 [18] - permettraient d’en révéler la qualité et l’importance. Le réajustement de l’histoire d’Almenêches ici présenté, incitera peut-être des mécènes à donner corps à un tel projet. » [2]

     

    Le château

     

    LES REMPARTS DU CHÂTEAU-D'ALMENÊCHES (Orne)     « Robert du Mesnil du Buisson, dans Au Pays d’Argentelles de janvier-mars 1977, livre un essai de reconstitution du plan du château alaman à Château-d’Almenêches, et suggère de placer le monastère de sainte Lanthilde, à la périphérie du bourg, au nord-nord-ouest du bois, sur les limites de l’ancien village, donc tout proche de la population et du château. (…)

     

    Plan de M. R. du Mesnil du Buisson extrait de ce même site.

     

            Simultanément aux derniers travaux de restauration sur l’abbatiale, il se trouve que le propriétaire de l’unique maison implantée sur la motte castrale du Château-d’Almenêches eut la surprise de découvrir, d’une manière on ne peut plus fortuite, dans le sous-sol de sa maison, un espace entouré de murs épais de près d’un mètre, dont on peut penser qu’ils soutinrent la base d’un château implanté là aux 14-15èmes siècles, sans doute remanié à plusieurs reprises. Les travaux de déblaiement ont été limités au dégagement d’une seule pièce d’une quarantaine de mètres carrés, laissant apparaître des ouvertures pour des portes, des fenêtres, garde-manger, un conduit souterrain, en parfait état de conservation, révélant par tant de précieux détails, l’existence d’une pièce à vivre bien des siècles auparavant. L’identification de différents détails préciserait sans doute la date de l’édification de ces murs et en révèlerait peut-être d’autres datant de constructions bien antérieures. On pense bien sûr au château des Montgommery supposé, construit entre le 9ème et le 11ème siècle faisant suite au château alaman qui lui, fut primitivement et probablement édifié en bois, comme la plupart des châteaux forts.

         En effet, ignoré de tous puisque enterré dans le sous-sol de bâtiments extérieurs assez quelconques, cet espace fut protégé par la terre qui l’avait comblé et mériterait qu’on l’examinât sérieusement pour extraire tous les éléments historiques possibles. Cette maison, ses dépendances et son jardin n’occupent qu’un tiers environ de la motte castrale, dont le reste, exploité en terre d’élevage, subit actuellement des travaux de terrassement pour une transformation en circuit accidenté de moto-cross, passe-temps bien actuel mais bien dommageable pour ce terrain qu’il conviendrait de préserver pour son fort potentiel archéologique [10] nous l’avons vu.

     

    LES REMPARTS DU CHÂTEAU-D'ALMENÊCHES (Orne)     (En 1935, nous dit Xavier Rousseau, M. John Maitland, ingénieur, directeur général de la Baillol Earthworks Survey, vint visiter le château de Montgommery, il déclara qu’il possédait en Angleterre le plan de cette forteresse [11]. Xavier Rousseau n’a pu alors en obtenir d’avantage et nos récents contacts avec le Baillol College d’Oxford confirme l’impossibilité d’accéder à ce plan qui n’a jamais figuré dans les collections de sa bibliothèque et qui doit être conservé dans des archives privées dont nous ne connaissons ni le lieu, ni le nom.) » [2]

     

    Ci-dessus, plan extrait du cadastre napoléonien de 1809, Archives de l'Orne, http://archives.orne.fr/

     

    [8] Dom Chaussy, ouvrage collectif – L’abbaye d’Almenèches-Argentan et sainte Opportune, sa vie, son culte, Paris, 1970.

    [10] Vimont, Eugène – Monuments celtiques, Les camps d’Almenèches et du Château-d’Almenèches in Bulletin de la Société Scientifique Flammarion, Argentan, 1886, pp. 51 à 56.

    [11] Dictionnaire du Pays d’Argentan in Le Pays d’Argentan, T 11, n° 2, juin 1939.

    [12] Lors du décès d’un prieur, d’un moine ou d’une abbesse, la communauté envoyait un de ses membres annoncer la nouvelle à toutes ses relations. Ainsi tout son périple sera inscrit sur un parchemin enroulé sur lui-même, retraçant le trajet du porteur, les prières des abbayes ou les personnes contactées, aussi bien que des informations, louanges, etc. sur le disparu, périple qui pouvait nécessiter des mois, voire plus d’une année et conduire le messager à travers la moitié de l’Europe. Cf. Exposition « Voyager au Moyen Age » 22.10.2014-23.2.2015 – Musée de Cluny à Paris.

    [13] Lucien Musset, in Dom Chaussy, op. cit., p. 30.

    [14] Robert et Arnoult de Bellême sont des Montgommery qui portent le nom de la terre héritée de leur mère Mabille de Bellême.

    [15] Beaudouin, Henri, op. cit., p. 4. (…)

    [18] Mesnil du Buisson, comte du – Projet de fouilles archéologiques au Château d’Almenèches, in Le Pays d’Argentan n° 5 (119), décembre 1960. » [2]

     

    La légende du château d'Almenêches :

     

         « Ce tumulus a ses légendes une fée, après avoir creusé un large fossé et mis la terre en tas, creusa ensuite une galerie longitudinale vers le centre de ce tertre, la maçonna et la ferma avec une porte en fer ; c'est dans cette grotte qu'elle avait enfermé ses trésors qui y sont restés ensevelis. » [1]

     

         « Les légendes de la commune d'Almenêches se rapportent autant à l'existence de son château qu'à celle de son monastère. Le château était la demeure des Montgommery. D'après la tradition, il était, à l'origine, le domaine d'une fée qui en avait imaginé les structures, élevé la butte et creusé les fossés. Pour cacher ses trésors, elle y avait aménagé une longue galerie fermée, par une lourde porte en fer. La légende ajoute que cette porte n'était jamais fermée, même quand la fée partait en promenade. Il faut ajouter que personne ne tenta d'en franchir le seuil. » [4] 

     

    La légende des Prés salés :

     

    LES REMPARTS DU CHÂTEAU-D'ALMENÊCHES (Orne)     Sainte Opportune « eut à régler un différend avec les propriétaires du château. A la grande colère de Montgommery, le bois nécessaire à la communauté était ramassé dans la forêt seigneuriale et transporté chaque jour par un âne.

         Un soir, l'âne ne rentra pas au monastère. Sainte Opportune n'eut pas de doute sur le sort de l'animal. Montgommery l'avait retenu.

         Elle envoya un serviteur près du seigneur pour réclamer la liberté du bourriquet. Mais Montgommery soutint son ignorance complète de l'affaire. La sainte entra en prière et Dieu lui révéla l'endroit où l'âne était prisonnier. Forte de cette indication, elle informa Montgommery que si l'âne ne rentrait pas à la communauté, le jour même, tous les prés de son domaine seraient recouverts de sel.

         Se penchant alors à la fenêtre du château, Montgommery constata, en effet, la blancheur de l'herbe des pâturages. Devant ce miracle il capitula. Il restitua l'âne et mieux, il autorisa sainte Opportune à prélever dans la forêt tout le bois nécessaire à la communauté. » [4] 

     

    A proximité :

     

    LES REMPARTS DU CHÂTEAU-D'ALMENÊCHES (Orne)     L'abbaye d'Almenêches est refondée en 1066 par Roger II de Montgommery qui lui donne des domaines considérables. Emma, fille de Roger de Montgommery et de Mabile de Bellême est la première abbesse. Son père donne des biens en Angleterre et un prieuré mais ils sont enlevés par le roi d'Angleterre Henri Beauclerc. Des querelles amène Robert de Bellême, frère d'Emma a brûler le monastère en 1102 mais elle le rebâtit. L'abbaye est liée aux alternatives de grandeur et d'adversité de cette famille. En 1157, un incendie accidentel atteint l'abbaye qui est reconstruit par Mathilde, la deuxième abbesse, sœur d'Emma. L'abbesse Louise de Silly reconstruit en 1583 une église neuve sur les fondations de l'ancienne. En 1737, Louis XV ordonne le transfert des sœurs au prieuré d'Argentan. Le clocher, tout comme le portail, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 27 septembre 1948. L'église, à l'exclusion du clocher et du portail inscrits, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 9 mars 1993...

    D'après Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_d%27Almen%C3%AAches

    Voir aussi : http://valdorne.eklablog.com/almeneches-rive-droite-a112821276

     

    Sources :

     

    [1] E. Vimont. Les camps d'Almenêches et du Château d'Almenêches ; Bulletin de la Société scientifique Flammarion, Argentan. T. 2. 1884, P. 51-56. Extrait du bulletin de la société d'études préhistoriques Normandes 1895 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5442402w/f105.image.r=%22Ch%C3%A2teau-d'Almen%C3%ABches%22

    [2] Article de Pierrette Raveton dans https://sites.google.com/site/lesoriginesdalmenechescom/home

    [3] Extrait de l'Histoire des antiquités de la ville de l'Aigle et de ses environs, Jean François Gabriel Vaugeois, 1841

    [4] Extrait de « Légendes de Basse-Normandie » Inventaire communal d’Édouard Colin ; éditions Corlet 1992.

    [5] Extrait de l'Histoire du bourg d'Écouché (département de l'Orne) par M. Alfred de Caix ; Le Gost-Clérisse (Caen) 1862 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6525388w/f40.image.r=%22Ch%C3%A2teau-d'Almen%C3%ABches%22

    [6] Extrait des Origines de la Normandie et du duché d'Alençon : Histoire des quatre premiers ducs de Normandie et des Talvas, princes de Bellême, seigneurs d'Alençon, de Sées, de Domfront, du Passais et du Saosnois ; précédée d'une Etude sur le diocèse de Sées au 9e siècle-de l'an 850 à l'an 1085 par le Vicomte Du Motey, Henri Renault (1858-1932). Éditeur :  A. Picard (Paris) 1920

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111618x/f148.image.r=%22Ch%C3%A2teau-d'Almen%C3%ABches%22

     

    Bonnes pages :

     

    O https://books.google.fr/books?id=oFlBedisKPsC&pg=PA2&dq=%22Ch%C3%A2teau-d%27Almen%C3%AAches%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwj2gur9sZLcAhWCaxQKHWW2Cj4Q6AEIJzAA#v=onepage&q=%22Ch%C3%A2teau-d'Almen%C3%AAches%22&f=false

    O https://drive.google.com/file/d/1-bMGazwfewljwJP7WcAgZKdOqFlLwLCE/view

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