• LES REMPARTS DU BEC-DE-MORTAGNE (Seine-Maritime)

     LES REMPARTS DU BEC-DE-MORTAGNE (Seine-Maritime) LES REMPARTS DU BEC-DE-MORTAGNE (Seine-Maritime) LES REMPARTS DU BEC-DE-MORTAGNE (Seine-Maritime) 

     

         On trouve sur le territoire du Bec-de-Mortagne, deux mottes féodales du 11e siècle : le " Vieux-Châtel " et la " Vieille Tour ". Il n'est pas facile de retrouver l'emplacement de ces deux châteaux : rien sur les cartes actuelles, rien sur le cadastre napoléonien, rien sur Géoportail, rien sur Google Earth, rien sur le cadastre actuel...

        Il faudra me résoudre, un jour, à aller voir sur place... à moins que quelqu'un ait plus d'informations sur ces deux sites... [NdB]

     

         Bec de Mortagne « On trouve dans cette commune les ruines d'un vieux château dont les murailles sont très-épaisses. La tradition veut que ce château bâti sur une côte escarpée, ait communiqué par des souterrains avec un autre château fort, situé sur la côte opposée, et dont les restes sont connus sous le nom de la Vieille Tour. Des fouilles opérées dans le vieux château n'ont produit aucun résultat archéologique. » [1]

      

    LES REMPARTS DU BEC-DE-MORTAGNE (Seine-Maritime)     LES REMPARTS DU BEC-DE-MORTAGNE (Seine-Maritime)

     

    Ci-dessus, plan de situation (supposée) des deux mottes du Bec-de-Mortagne (je ferai un plan plus complet dès que j'aurai plus de renseignements...) carte extraite du site Géoportail ; blason de la commune de Bec de Mortagne : " La motte féodale dite du vieux château : elle date du 10-11ème siècles et est entourée d'un fossé (mont). Cette commune doit son nom à la rivière ou bec du norrois bekkr " ruisseau, rivière " qui y prend sa source, et a ses premiers seigneurs normands (or et de gueules), les sires de Mortagne. Eglise dédiée à Saint-Martin (épée). Blasonnement : De gueules à un mont d'or chargé d'un rocher de sable d'où jaillit, de front, une source d'argent, le tout surmonté d'une épée d'argent posée en pal. " http://blasonsdefrance.free.fr/departements/76.htm

     

         " C'est sur Goderville que se trouve la fameuse motte de Cretot, dont les sires étaient grands bouteillers héréditaires de la Normandie. En général, le territoire de Goderville pourrait être appelé la terre des mottes ; j'en ai compté jusqu'à dix dans le canton ; une à Bréauté, une à Auberville-la-Renault, une à Bornambusc, une à Mirville, une à Gonfreville-Caillot, deux à Bretteville-la-Chaussée et deux au Bec de Mortagne. La tradition du pays veut que ces mottes aient servi autrefois de vigies ou de signaux. C'est du haut de ces éminences factices que nos ancêtres annonçaient aux peuplades voisines l'apparition des flottes barbares, ou la descente des Normands sur nos côtes. Le château de Béthencourt, à Grainville-la-Teinturière, est assis sur une motte ; le château d'Auffay, près de Tôtes, et celui de la Vieille Tour, au Bec de Mortagne, sont jetés sur des mottes de coteau isolées de la plaine par une énorme coupure faite de main d'homme. Plusieurs de ces buttes sont entourées de douves ou fossés remplis d'eau, comme à Cretot, à Gonfreville, à Bretteville, etc., ce qui tendrait à en faire autant de points de défense pour les seigneurs, soit entre eux, soit contre les ennemis du dehors. " [1]

     

    LES REMPARTS DU BEC-DE-MORTAGNE (Seine-Maritime)     " Le Bec-de-Mortagne est le siège d'une localité d'origine très ancienne dont l'église, dédiée à saint Martin, est construite à l'intérieur d'une vallée, sur une terrasse qui a livré des vestiges d'occupation gallo-romaine. Ce fut aussi le centre d'une grande paroisse dont dépendait encore à la fin du 12e siècle la chapelle de Baigneville, dédiée à saint Germain, auprès de laquelle ont été trouvés des sarcophages francs. On peut aussi lui rattacher la petite paroisse voisine de Vilmesnil, elle aussi placée sous le patronage de saint Germain et qui offre tous les caractères d'un ancien appendice domanial.

         Le gros château à motte qui est établi sur un éperon, au-dessus du village, probablement celui que construisit Robert de Mortagne entre 1088 et 1091, a supplanté l'établissement résidentiel primitif qui devait être voisin de l'église. Les aveux indiquent que le château fut habité par les seigneurs du Bec jusqu'au 15e siècle ; on ne trouve pas de manoir auprès de l'église. " [2]

     

    Histoire :

     

         " C'est en 1091 que, par traité, Robert Courteheuse abandonnait à son frère l'abbaye de Fécamp et ses dépendances. (...) L'abandon de l'abbaye à Guillaume le Roux suppose qu'elle lui était déjà plus ou moins acquise avant 1091. En tout cas, on ne peut soupçonner les religieux de Fécamp d'avoir été favorables à Robert. (...) Et dès 1088, l'abbaye avait déjà consolidé sa position aux dépens du duc Robert. Au mois de juillet, celui-ci, venu à Fécamp pour préparer son débarquement en Angleterre, accorda à l'abbaye une charte par laquelle il lui rendait de nombreuses terres que son père lui avait naguère retirées, dont, dans la région fécampoise, celle de Guillaume du Bec (de Mortagne), celle d'Hunloph de Mesmoulins et toute la terre d'Igneauville. (...) En les abandonnant, le duc laissait s'amoindrir sa milice personnelle. Du même coup, l'abbaye retrouvait sa prépondérance traditionnelle sur les vieilles terres de la partie orientale de la « forêt ».

         C'est dans ce contexte que survient un événement dont les détails sont relatés dans une notice rédigée entre 1089 et 1091, et jointe à l'acte d'une donation ducale à l'abbaye de Fécamp, postérieure à Juillet 1088. Le duc Robert y dit qu'à la suite de cela s'est soulevé contre lui l'abbé de Fécamp Robert de Mortagne, fils de Guillaume du Bec, et que sur la terre même qu'il tenait de la Sainte-Trinité et de l'abbé de Fécamp, il a construit un château (castrum firmavit) et a refusé d'accomplir les services qu'il devait pour la terre. Alors, avec l'appui de ses fidèles, le duc l'a capturé, a détruit le château et l'a incendié, puis donné la terre à un de ses fidèles nommé Gohier. Ensuite, il fait savoir qu'il restitue la terre à l'abbaye.

         Dans l'édition qu'il donne de l'acte, Haskins a par erreur identifié le personnage cité dans cette notice avec Robert de Mortain, de sorte que les historiens n'ont pu jusqu'ici tirer qu'un parti limité du document. Il s'agit bien en fait, comme l'a récemment établi Jean Adigard des Gautries, d'un seigneur originaire du petit village du Bec-de-Mortagne, dans la vallée de Ganzeville, à dix kilomètres au sud-est de Fécamp. L'identification est d'autant plus précieuse que le texte est précisément daté et qu'il existe au Bec-de-Mortagne les restes d'un château à motte, qui pourrait être celui construit par Robert après Juillet 1088, et incendié par le duc avant 1091. Plus exactement, on note au Bec-de-Mortagne l'existence de deux châteaux à motte, établis sur des éperons, pratiquement identiques l'un à l'autre. Le premier, appelé le « Vieux Châtel », se trouve près du village, sur le coteau nord de la vallée, en face de l'église paroissiale. Il présente une forte motte conique qui barre un éperon cerné par un fossé. Le second, dit de « La-Vieille-Tour », non moins puissamment fortifié, occupe un site isolé, sur un éperon boisé, à un kilomètre au sud-est du village, près de la limite du village de Daubeuf. Le voisinage de ces deux fortifications pose le problème de savoir à laquelle se rapporte la notice de Fécamp, s'il est vrai que l'un des deux correspond bien au château édifié par Robert de Mortagne. Il faut observer tout d'abord que le « Vieux-Châtel », établi au-dessus du village, représentait, dans les derniers siècles du Moyen Age, le chef-mois du fief du Bec-de-Mortagne. Sans doute est-il par ailleurs raisonnable de penser que le sire du Bec se fortifia d'abord dans la partie du fief où il résidait. Dans ces conditions, il se pourrait donc que la grosse motte du « Vieux-Châtel » soit celle du castrum érigé par Robert. Il n'en reste pas moins que les deux ouvrages, de conception identique, sont sans doute issus de la même génération des bâtiments de châteaux, et liés peut-être aux mêmes événements.

         La construction du château s'exerça, nous dit-on, à l'encontre du seigneur de Robert, l'abbé de Fécamp. A l'égard de ce dernier, la menace était d'autant plus grande que le Bec-de-Mortagne se trouve au cœur des domaines abbatiaux.

         Nous verrons d'ailleurs plus tard que les abbés semblent avoir entrepris de mettre leurs terres limitrophes en état de défense, par la mise en place de fortins à Daubeuf et à Gruville, sur la lisière du Bec-de-Mortagne. D'autre part, l'érection du château est explicitement présentée comme un acte de rébellion contre l'autorité ducale. De la part d'un petit seigneur de village, en plein domaine ducal de Fécamp, la tentative était audacieuse. Force est de penser que Robert bénéficia d'appuis extérieurs. (...)

         Cette revue des principaux foyer locaux de troubles pendant les guerres du règne de Robert fait donc apparaître que nombre de fortifications furent alors bâties. Elles abondent dans les territoires rebelles à l'autorité ducale. Mais à l'égard de sa propre clientèle chevaleresque le duc Robert multiplia les concessions, et de nombreuses maisons châtelaines apparaissent aussi dans le domaine ducal de Fécamp. Le fait nouveau, semble-t-il, est que pour la première fois, des petits lignages villageois, de second rang, se dotent de châteaux. Et c'est bien un château, castrum, que le modeste seigneur du Bec-de-Mortagne érige entre 1088 et 1089. La valeur militaire de toutes ces mottes qui se multiplient en quelques années dans le pays n'est sans doute pas négligeable. Il faut que l'atteinte ainsi portée à l'autorité princière ait été grave pour que Robert Courteheuse et son frère, d'un commun accord, aient décidé, en 1091, par la promulgation commune des Consuetudines et Justicie, de rappeler les interdictions fondamentales que leur père avait formulées en matière de droit de la fortification." [2]

     

         " En 1479, Louis XI, par lettres datées de Plessis-lèz-Tours, abandonne à son cher et féal cousin, conseiller et chambellan, Jacques d’Estouteville, le droit de haute justice dans ses châtellenies de Valmont, du Bec de Mortagne, des Loges, etc. D’après une tradition, un souterrain faisait communiquer le château de la paroisse avec une énorme motte de terre, dite la Vieille Tour, située de l’autre côté de la vallée. (...)

         Avant 1490, le château du Bec de Mortagne avait été ruiné par les guerres. Cette châtellenie, qui relevait de Valmont, donnait droit de patronage honoraire sur cette paroisse." [3]

     

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    Descriptions

     

         Bec-de-Mortagne, canton Goderville

    Site A. - Lieu-dit : Le-Vieux-Châtel. - Parcelle cadastrale : A 101. — Coord. Lambert : 463,93 — 224,66. — Fief : Fécamp, 13.

         Le château est implanté sur le coteau nord de la vallée de Ganzeville, légèrement en marge du village, au milieu d'un bois, au nord de l'église paroissiale. Son assise est un éperon formé par un ravin qui entame le versant.

         La motte est dressée sur la racine de l'éperon. C'est une forte butte conique, aux versants escarpés. Elle présente un sommet étroit, large de six à huit mètres, où l'on remarque quelques fondations maçonnées qui ont pu appartenir à une tour. Elle est séparée du plateau par un fossé large et abrupt, de huit mètres environ de profondeur.

         L'extrémité de l'éperon, qu'isole la motte, est une plate-forme allongée (50 X 20 m) dont le profil est légèrement incliné car elle suit la pente du sol naturel. A l'ouest, elle a été entamée par une carrière de marne.

         En contrebas l'éperon est cerné par un fossé qui fait le tour du coteau. Dans sa partie ouest, la plus basse, le fossé était limité par un remblai extérieur, haut de deux à quatre mètres, que l'on voit encore autour de la carrière, bien que le fossé lui-même n'y soit plus visible, sa concavité ayant été utilisée pour l'exploitation de la marne.

         La motte n'occupe pas toute la largeur de l'éperon. Elle réserve au sud un passage large de six mètres qui correspond peut-être à l'entrée primitive. A noter que le cadastre du 19e siècle conserve le tracé d'une sente, aujourd'hui disparue, qui empruntait le fond du fossé longeant le versant sud de l'éperon et menait au village.

         Il subsiste enfin de nombreuses traces de bâtiments en pierre sur le site ; l'éperon était ceinturé par un mur, que l'abbé Cochet vit encore en élévation (Cochet, La Seine-inférieure..., p. 377) et dont il ne reste plus que quelques assises en silex. Sur la plate-forme, on distingue aussi de nombreuses buttes qui sont apparemment faites en grande partie de matériaux de démolition. Au cours de l'exploitation de la carrière, on a découvert, dit-on, des pavages émaillés, des tessons de poterie, ainsi qu'un puits. Ce sont des éléments qui permettent de penser que le château fut occupé jusqu'à une date assez récente. De fait les textes placent son abandon vers 1490 seulement (Arch. S.M. II B 487, p. 68).

     

         Bec-de-Mortagne, canton Goderville

    Site B. — Lieu-dit : La Vieille Tour. — Coord. Lambert : 464,70 — 223,55.

         Frère jumeau du « Vieux-Châtel », le château de la vieille tour est, à sa différence, éloigné du village. Il se trouve, au milieu des bois, sur limite entre le village de Daubeuf et celui du Bec. Comme le précédent il est établi sur un éperon. Le relief est offert par un ravin qui descend de la plaine de Vilmesnil, sur le coteau sud de la vallée.

         L'éperon est barré par une très forte motte, aux versants escarpés, de forme conique, dont le sommet est large de huit mètres. La pointe de l'éperon, de forme grossièrement carrée (22 X 22 m), légèrement rétrécie à son extrémité, est située à dix mètres sous le niveau du sommet de la motte.

           Un fossé encercle la fortification. Côté plateau, il a cinq mètres de profondeur ; côté éperon, il est creusé dans le versant du coteau. Au sud, il est fortement dégradé car on y a aménagé une carrière à silex.

         Au sommet de la motte, on voit encore les premières assises en silex d'une tour de forme carrée ; c'est elle, très probablement, qui a donné son nom au site. Par contre, sur l'éperon, on ne voit pas de traces de constructions au niveau du sol, alors que de tels témoins abondent sur le site du « Vieux-Châtel ». [2]

     

    Abbé Cochet, 1864 :

     

         " Bec-de-Mortagne. Commune formée des deux anciennes paroisses du Bec-de-Mortagne et de Baigneville, fusionnées vers 1823. - Le Bec-de-Mortagne. Époque incertaine. Sur une colline et dans un bois dit le Bois de Notre-Dame ou de la Vieille-Tour, est une motte énorme, fossoyée du côté de la plaine par une douve de 25 mètres de profondeur, qui est appelée la Vieille-Tour. On a cru y reconnaître des traces de maçonnerie. Des souterrains communiqueraient, dit-on, avec le Vieux Châtel, ruine encore imposante, de forme carrée, assise dans le vallon, et qui dut être le château du moyen âge. On parle de fées et de fantômes errant la nuit sur ces débris. " [4]

     

    Légendes

     

         " La nuit, des fées et des fantômes se promèneraient parmi les ruines du Vieux-Châtel, qui dut être un château au Moyen-Âge.

         Une motte fossoyée se trouve dans le Bois-de-la-Vieille-Tour (vallée de Ganzeville, près de l'église).

         Une tradition populaire prétend qu'un souterrain partirait du vieux château, traverserait la vallée et devrait ressortir sur le flanc du côté opposé de la motte féodale." [3]

     

    A proximité :

     

         Église paroissiale Saint-Martin :

     

     LES REMPARTS DU BEC-DE-MORTAGNE (Seine-Maritime)LES REMPARTS DU BEC-DE-MORTAGNE (Seine-Maritime)     " Édifice de plan en croix latine. Un vaisseau entrecoupé d'un petit transept, terminé par un chœur au chevet polygonal que ponctue une sacristie, et précédé d'un imposant clocher-porche surmonté de son toit d'ardoise en hache. (...) Tel que se révèle l'aspect de l'église, celle-ci remonterait à la fin du Moyen Age et à la Renaissance, tant pour son décor (ornements classiques de la tour-porche reconstruite au début du 17e siècle) que pour ses matériaux (grès et silex). " [5]

     

         " Vers 1175, Guillaume de Mortagne, seigneur du lieu, se démet de l’église de cette paroisse entre les mains de Rotrou l'archevêque de Rouen, qui lui-même la (Becco Willelmi de Moritania) rétrocéda à son chapitre, à charge de faire son anniversaire après sa mort. Le curé devait avoir le tiers des dîmes et les chanoines les deux tiers. Un chevalier, Henri de Soteville, chercha noise au chapitre de Rouen pour la possession de cette église. Il fut excommunié, mais s’étant soumis, l’excommunication fut levée." [3]

     

         Dans cette église : " On remarquera au mur méridional, un cintre roman à fleur de terre, que le peuple dit être l'entrée d'un caveau sépulcral qui est sous le chœur. C'est là, suivant la tradition, que l'on a enterré les puissants châtelains du Bec-de-Mortagne, dont les ruines du manoir se trouvent au pied d'une colline en face de l'église et dans le bois de la Vieille Tour. " [6] 

     

    Sources :

     

    [1] Extrait de Le Havre et son arrondissement : 1ère partie par Joseph Morlent, 1841 https://books.google.fr/books?id=XKNfAAAAcAAJ&pg=RA1-PA76&lpg=RA1-PA76&dq=Vieille+tour+du+Bec+de+Mortagne&source=bl&ots=0iS7KaRQ3R&sig=ACfU3U1xFe9u0GV4eHMStbrrhlmxUQKHOA&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjM8-vV2PHjAhUhoVwKHa0VAb4Q6AEwDnoECAkQAQ#v=onepage&q=Vieille%20tour%20du%20Bec%20de%20Mortagne&f=false

    [2] Extrait de de L'apparition des seigneuries châtelaines dans le Grand-Caux à l'époque ducale par Jacques Le Maho - Archéologie médiévale Année 1976 6 pp. 5-148 https://www.persee.fr/doc/arcme_0153-9337_1976_num_6_1_1307

    [3] Extrait de Wikipédia

    [4] Extrait de La Seine-Inférieure historique et archéologique : époques gauloise, romaine et franque... P. 210 - par M. l'abbé Jean-Benoît-Désiré Cochet (1812-1875) Éditeur Derache (Paris) 1864 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k32141851/f91.item.r=%22La%20Seine%20inf%C3%A9rieure%20historique%20et%20arch%C3%A9ologique%22 ou extrait du Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure rédigé sous les auspices de l'Académie des sciences, belles lettres et art de Rouen, par M. l'abbé Cochet, 1871.

    [5] Extrait de https://www.patrimoine-religieux.fr/eglises_edifices/76-Seine-Maritime/76068-Bec-de-Mortagne/143845-EgliseSaintMartin

    [6] Extrait de Les églises de l'arrondissement du Havre, Volume 2 par Gaffney frères, 1845 https://books.google.fr/books?id=Pv8iHflGrrQC&pg=PA470&lpg=PA470&dq=Vieille+tour+du+Bec+de+Mortagne&source=bl&ots=2OQuTPNM92&sig=ACfU3U0wvixplklWVCt5EY3t56oYVmjvpg&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjM8-vV2PHjAhUhoVwKHa0VAb4Q6AEwE3oECAoQAQ#v=onepage&q=Vieille%20tour%20du%20Bec%20de%20Mortagne&f=false

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  • Commentaires

    1
    Hervé Dumanoir
    Jeudi 8 Décembre 2022 à 07:48

    Bonjour et félicitations pour votre site !

    Ne cherchez plus. Hier, j'ai bien trouvé la motte située dans le bois route de Picagny.

    Celle-ci est bien conservée et spectaculaire par importance. A son sommet subsistent des silex comme fondations de la tour aujourd'hui disparue.

    D'autre part, les fossés sont eux-aussi bien conservés et vertigineux côté est.

    Si je pouvais, je vous enverrais une photo.

    Cordialement,

    HD

      • Vendredi 9 Décembre 2022 à 00:05

        Bonjour,

        Merci de l'information et pour l'éventuelle photo.

        Cordialement

        Gilles P.

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