• LES REMPARTS DE PONT-ECHANFRAY (Eure)

    LES REMPARTS DE PONT-ECHANFRAY (Eure) LES REMPARTS DE PONT-ECHANFRAY (Eure) LES REMPARTS DE PONT-ECHANFRAY (Eure)

     

    Ci-dessus, à gauche : photo extraite du site http://randosduglaude.eklablog.com/les-circuits-dans-l-eure-216-c18274462 ; à droite, une photo extraite de https://www.cirkwi.com/fr/circuit/41664-circuit-du-bois-hibou 

     

         A Notre-Dame-du-Hamel se trouvent les mottes d'Echanfray ou de Pont-Echanfray qui sont les vestiges d'un château à motte des 11e et 12e siècles. La motte, les enceintes fossoyées et les vestiges du logis seigneurial y sont encore visibles. [NdB]

     

         « Le nom de la localité est attesté sous les formes Pontem Erchenfridi en 1035, Pont Herchenfret en 1050, Pons Herchenfret (Pont-Enchanfré) au 11e siècle, puis Beata Maria de Hamilla en 1260. » [1] 

     

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    Photos ci-dessus extraites d'un site néerlandais très complet et fort bien documenté sur les mottes en Europe dont celles de Normandie : http://www.basaarts.nl/vraagbaak.php

     

    Les vestiges de la motte féodale

     

         « Datant de 1035, la motte féodale fut érigée au Pont Echanfray (nom primitif de Notre-Dame-du-Hamel) sur une hauteur dominant la rive droite de la Charentonne. L’ensemble de ce château-fort comprend trois mottes isolées les unes des autres par des fossés assez profonds. Auprès de cette motte, un pont en bois fut construit sur la Charentonne. Pour passer d’une rive à l’autre, les voyageurs étaient contraints de payer une taxe. » [2] 

     

         " Notre-Dame-du-Hamel. – Les « Buttes de Pont-Echanfray » forment une triple enceinte avec un donjon. Cet ensemble de retranchements rappelle les enceintes d'Epinay et de Breuilpont (Eure) et celle d'Aunay-sur-Odon (Calvados). Une voie « Perrée » semble passer ou aboutir tout près ( Planche IV).
          L'emplacement exact des « Buttes d'Echanfray " se trouve à 1500 métres environ au Nord de Notre-Dame-du-Hamel, au niveau du Pont-Echanfray, à 300 mètres au S.-E. du coude fait par la route, qui, venant de passer la
    Charentonne, remonte la rive droite de cette rivière vers Préaux.
          A Notre-Dame-du-Hamel existaient au moyen âge les fiefs
    du « Bois-du-Tertre » et des « Châtelets ».
          Sur la limite de la commune et de Couvains (Orne) existe
    un triage de « Châtelets ». De même sur le territoire d'Anceins (Orne), autre commune limitrophe, on trouve un lieudit « Le Tertre », qu'on doit retenir.
    Charpillon et Caresme Dict. de l'Eure, t. II, p. 610. – L.
    Coutil : 29e Rapport Comm. des Enc. (Bull. S. P. F., t. VI, 1909, p. 285) et 41e Rapport, etc. (Ibid. t. VII, 1910, p. 5n, fig.). Id. Archéol. gall. etc. arr. de Bernay, p. 195 à 197. Inv. bibl. de la Comm. des Enc de Fr., toc. cit., p. i53. Carte de l'Etat-Major au 1/80.000e, Bernay, S.-O.
    " [10]
     
     

     

         « Notre-Dame-du-Hamel. – Les « Buttes de Pont-Echanfray forment une triple enceinte avec un donjon. Cet ensemble de retranchements rappelle les enceintes d'Epinay et de Breuilpont (Eure) et celle d'Aunay-sur-Odon (Calvados). Une voie « Perrée » semble passer ou aboutir tout près.
         L'emplacement exact des « Buttes d'Echanfray » se trouve à 1 500 mètres environ au Nord de Notre-Dame-du-Hamel, au niveau du Pont-Echanfray, à 300 mètres au S.-E. du coude fait par la route, qui, venant de passer la Charentonne, remonte la rive droite de cette rivière vers Préaux. A Notre-Dame-du-Hamel existaient au moyen âge les fiefs du   « Bois-du-Tertre » et des « Châtelets ». [3]

     

    LES REMPARTS DE PONT-ECHANFRAY (Eure)    LES REMPARTS DE PONT-ECHANFRAY (Eure)

     

    Plan de situation (provisoire, en attendant mieux...) des Buttes d'Echanfray à Notre-Dame-du-Hamel ; blason de l'Eure par User:Spedona 25/09/2007Cette image a été réalisée pour le Projet Blasons du Wikipédia francophone. — Travail personneliLe code de ce fichier SVG est valide.Cette image vectorielle a été créée avec Inkscape par User:Spedona 25/09/2007., CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=2811940

     

    LES REMPARTS DE PONT-ECHANFRAY (Eure)     « M. Léon Coutil, membre de la Commission, nous envoie la note suivante : « Dans notre Inventaire des camps, enceintes et mottes de l'arrondissement de Bernay, nous avons cité les buttes d'Echan­fray, commune de Notre-Dame du Hamel (Eure), sur la rive droite de la rivière la Charentonne, affluent de la Risle. Nous les avions même lithographiées d'après un croquis pris en 1897, lors d'une excursion rapide avec une société archéologique. Ayant voulu revoir cette enceinte, dont nous avions gardé un souvenir très complexe, nous avons eu tout le temps pour bien en lever le plan, d'autant plus que le bois qui la recouvre presque entièrement a été coupé l'an dernier. Le plan et la coupe ci-joints préciseront mes expli­cations (Figure. 1 montrant ci-dessus le plan du château).

     

    LES REMPARTS DE PONT-ECHANFRAY (Eure)      « Les buttes se trouvent à mi-côte, elles sont légèrement obliques à l'axe de la vallée de la Charentonne ; on remarque vers le sud une demi-lune surmontant de chaque côté deux fossés de 10 mètres de large et 5 mètres de profondeur en moyenne. La motte principale de 18 mètres de diamètre domine l'ensemble et s'élève à près de 9 à 10 mètres au-dessus du fond des fossés. La demi-lune va en s'atténuant en arrière de la butte, de sorte que celle-ci est isolée du plateau par un fossé de 20 mètres de large. Un autre fossé de 10 mètres part de l'autre côté de la motte principale, au nord de celle-ci, et se dirige vers l'est par un long sur 30 mètres de large. Un donjon se distingue par ses fonda­tions en cailloux et mortier, semi-rectangulaire, de 20 mètres sur 10 mètres et 2 mètres de profondeur. Nous croyons ce donjon postérieur au premier retranchement, mais nous n'osons l'affirmer. L'histoire nous apprend que Raoul-le-Roux y défit, en 1119, au passage de la Charentonne, les seigneurs voisins de Breteuil, Laigle et la Ferté-Fresnel. En 1124, Hugues du Plessis surprit la forteresse, qui fut brûlée en 1138 et en 1139 rendue au comte de Mortaigne pour Geof­froy Plantagenet. Nous ne pouvons par suite, savoir si le donjon fut reconstruit après 1138, c'est probable. Cet ensemble de retranche­ments rappelle l'enceinte d'Epinay, peu éloignée et celle de Breuilpont.

         La portion du plateau ainsi limitée a été circonscrite par de légers talus sur un espace de 50 mètres de Le plateau qui se trouve à droite étant d'abord boisé et couvert ensuite de fougères, il est impossible de savoir s'il existe une station préhistorique près de là. Toutefois, l'ensemble des retranchements ne nous paraît pas avoir une origine aussi ancienne ; elle pourrait plutôt remonter au 9e ou le siècle, et être contemporaine des inva­sions normandes, mais nous n'insistons pas sur cette hypothèse qui mérite un contrôle fort difficile à établir en l'absence de documents écrits, le premier en date remontant seulement à 1119.

         « Le grand fossé d'arrière, mesurant 20 mètres et qui isole tous les retranchements du plateau, débouche en face la route conduisant au pont, qui devait déjà exister lors de la construction des remparts. On voit très nettement qu'ils ont été placés en ce point pour défendre la vallée de la Charentonne, le pont et une très ancienne voie perrée que nous avons suivie pendant 5 kilomètres depuis les Buttes jusqu'à la vallée de la Guiel et Verneusses ». [4]

     

    Ci-dessus, une photo aérienne du site extraite de Géoportail.

     

    LES REMPARTS DE PONT-ECHANFRAY (Eure)     « Buttes de Pont-Echanfray. — Ce retranchement se trouve sur le flanc du coteau dominant la rive droite de la Charentonne, affluent de la Risle ; en réalité, il n'y a qu'une motte centrale avec deux ouvrages en relief formant un arc de cercle de chaque côté ; ils sont légèrement obliques à l'axe de la vallée et commandent celle-ci, surtout vers Notre-Dame-du-Hamel, ainsi que le vallon se dirigeant vers le Mesnil-Roussel, elles commandent par suite le vieux chemin qui passe dans le vallon et se dirige vers cette commune : ce dernier passe sur le pont d'Echanfray pour remonter vers Glatigny, la vallée de la Guiel et Verneusses. Ce vieux chemin, très direct, a un encaissement fort ancien, orienté Ouest et Est. L'axe des fossés d'enceinte fait face au vieux pont. Les retranchements suivent la pente normale du sol ; ils commencent par une première plate-forme de 40 mètres de long avec un relief de 3 à 4 mètres.


    Ci-dessus, une photo extraite du site Google Map.

     

    LES REMPARTS DE PONT-ECHANFRAY (Eure)     Ensuite une seconde plate-forme de 30 à 35 mètres de large sur 60 mètres de long laisse voir les substructions d'un donjon semi-circulaire d'un côté et rectangulaire de l'autre, de 10 mètres sur 20 mètres : ce donjon existait en 1119, car Raoul le Roux y défit les seigneurs voisins de Breteuil, Laigle et la Ferté-Fresnel, qui tentaient le passage de la Charentonne. Cinq ans après, il fut pris en 1124, brûlé en 1138 et rendu en 1139 au comte du Perche ; mais on ne sait pas s'il fut reconstruit.
    Par ces données, on est certain que les retranchements sont antérieurs à 1119 et sans doute plus anciens. Un fossé de 15 mètres isole cette première butte de 30 mètres de la motte principale, haute de 12 mètres au-dessus du fond des fossés, et dont le diamètre est de 18 mètres. Cette motte centrale est protégée par une demi-lune de 15 mètres de largeur au maximum qui l'isole du plateau vers l'Est et le Sud ; la pointe très abrupte vers l'Ouest et le vallon va en s'atténuant en arrière à l'Est. Un fossé de 10 mètres entoure cette demi-lune et rejoint le fossé extérieur du donjon.
         L'ensemble du fossé extérieur, de la demi-lune, de la motte centrale et de la cour du donjon occupent sur le front de la vallée une surface de 100 mètres ; la plate-forme de la Basse-Cour occupe seulement 40 mètres en plus, dans la partie déclive. Nous avons projeté, en élévation, sur le côté de la figure ci-contre, tous les détails du plan, afin de mieux le faire comprendre.
         Un souterrain de la commune porte le nom de Cave à Jaquedarc (Jeanne d'Arc ?) ; on s'y rend en pèlerinage. » [5]
     

     

    Plan ci-dessus extrait de l'article Camps, enceinte, mottes et fortifications antiques du département de l'Eure " par le Dr Doranlo in le  Bulletin de la Société des antiquaires de Normandie – Éditeurs Derache (Paris) / Didron (Caen) / Hardel (Rouen) / Le Brument () 1919 - https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k200034x/f147.item.r=%22ferme%20de%20Cantepie%22#

     

    Seigneurs d'Echanfray :

     

    Vauquelin d'Echanfray :

     

    LES REMPARTS DE PONT-ECHANFRAY (Eure)     « ... Giroye, sans armes et sans défense, accompagné seulement de douze cavaliers, part de son château pour se rendre à Alençon, bien disposé à prendre part aux plaisirs de la fête ; mais à peine a-t-il franchi le seuil du château, que le farouche Talvas altéré du sang de sa victime, le fait saisir comme un traître et félon, et jeter dans un cachot au fond d'une tour, qui jusqu'en 1782, où elle fut détruite, porta toujours depuis le nom de Tour-du-Chevalier-Giroye. Le dîner terminé, Bellême et ses convives partirent pour la chasse ; c'est pendant leur absence que les satellites du tyran, chargés de l'exécution de son noir projet, remplirent leur exécrable mission. Après avoir tiré Giroye de son cachot, ils lui coupèrent le nez et les oreilles, lui crevèrent les yeux, et pour comble de scélératesse, ils lui firent subir un autre genre de supplice, que la pudeur nous défend de spécifier ici. (...)

         A la nouvelle de l'affreux attentat commis par Talvas, sur la personne de son malheureux hôte, l'indignation de sa famille ne connut point de bornes ; animés par le plus vif ressentiment, les deux frères de la victime, Robert et Raoul Giroye, intrépides chevaliers, se levèrent avec leurs beaux-frères, leurs neveux et autres parents, pour déclarer à Talvas une guerre à mort, et tirer une vengeance éclatante de l'affront fait à leur noble et puissante famille, dans la personne de son chef. Au nombre des preux, décidés à tout oser et à ne reculer devant aucun obstacle pour punir l'attentat, on voyait figurer Vauquelin, seigneur du Pont-Echanfray, Robert de-Grantemesnil, Roger, sire du Merlerault, et Salomon-de-Sablé, beaux-frères du mutilé (…) Chacun l'attaqua de son côté, tous se débordèrent comme un torrent sur le Bellêmois, l'Alençonnais et le pays de Domfront, et bientôt ces vastes domaines devinrent le théâtre de toutes sortes de pillages, d'incendies et d'horreurs, telles qu'on pouvait attendre d'une multitude furieuse, dévorée de la soif d'une horrible vengeance. (…) » [6] 

     

    Raoul ou Ralph II le Rouge (1070-1120) :

     

          « Ralph le Rouge (Raoul II Rufus) de Pont-Echanfrey (1070-25 novembre 1120), fils de Guillaume de Pont-Echanfrey ou de son frère Raoul Ier. Ralph était un chevalier qui servit d'abord Robert Guiscard puis participa à la fois dans la première croisade et dans la croisade du fils de Robert Bohemond d'Antioche-Tarente dans le cadre de sa première armée. Soldat semi-professionnel loyal à la famille de Guiscard, il accompagne Bohémond en Pouilles en 1107 puis Antioche en 1108. Guascelin*, frère de Ralph (mort en 1109 ou après) accompagne également Bohémond. En 1119, il avait rejoint les forces de Henry Ier d'Angleterre dans sa campagne contre Louis VI de France, et a aidé le fils de Henry Richard à échapper à la capture par les Français à Les Andelys.

          Ralph a épousé une fille, nom inconnu, d'Odeline du Puiset et de Joscelin de Lèves. La femme de Ralph l'accompagna lors de sa deuxième croisade, mourant en 1109, probablement à Byzance. Odeline était la petite-fille de Guy Ier de Montlhéry. L'épouse de Ralph était la soeur de Hugh Ier de Jaffa, dont le fils Hugh II était aussi un croisé. Ils ont peut-être eu un fils (non vérifié) : Raoul III de Pont-Echnfrey (décédé après 1130).

         En tant que veuf, on croit qu'il s'est remarié, mais aucune information spécifique n'est disponible sur sa deuxième épouse possible. Ralph s'est noyé dans le désastre de la Blanche Nef le 25 novembre 1120, qui peut indiquer une certaine relation avec l'aristocratie de l'Angleterre, particulièrement donné sa camaraderie avec le fils du roi. » [7] 

     

    LES REMPARTS DE PONT-ECHANFRAY (Eure)      « Joscelin de Pont-Echanfray* se distingua dans les guerres de la Pouille et des croisades. Le droit de haute-justice s'était conservé dans cette seigneurie. (...)

         On voit à Echanfray des vestiges d'une ancienne place forte qui est citée au commencement du 11e siècle, sous le nom de Pont-Echanfray, dans les guerres des barons normands. Raoul-le-Roux, y défit en 1119, au passage de la Charentonne, les seigneurs de Breteuil, Laigle et la Ferté réunis. En 1124, Hugues du Plessis surprit la forteresse : elle fut brûlée en 1138 et en 1139 rendue au comte deMortaigne pour Geoffroy-Plantagenet. » [8]

     

    Ci-dessus une photo extraite de https://www.eure-tourisme.fr/Fiche/Detail/Balades-et-randonnees/Notre-Dame-du-Hamel/Circuit-du-Bois-Hibou/ITI-ITINOR027V506ORF

     

          « … dés janvier 1138, la trève fut violée dans la Normandie centrale Pays d’Ouche et Hiémois. Les neveux de Raoul Le Roux, Simon Le Roux et Riboud furent introduits par Robert Girois dans le château d’Echauffour ; de là ils ravagèrent les terres de Robert de Leicester dans le diocèse d’Evreux. Les hommes du comte se vengèrent en incendiant les bourgs de Montreuil l’Argillé et Pont Echanfray. » [9]

     

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    Sources :

     

    [1] Extrait de Wikipédia

    [2] Extrait de https://cdt27.media.tourinsoft.eu/upload/PDF---Circuit-du-Bois-Hibou---a--pied.pdf

    [3] Extrait du Bulletin de la Société des antiquaires de Normandie ; Éditeur : Société des antiquaires de Normandie (Caen) ; Date d'édition : 1919.

    [4] Extrait de la Commission d'étude des enceintes préhistoriques et fortifications an historiques par Armand Viré in Bulletin de la Société préhistorique de France, tome 7, n°10, 1910 ou Bulletin de la Société préhistorique de France, tome 18, n°8, 1921. pp. 189-196 Par Léon Coutil ; https://doi.org/10.3406/bspf.1921.13297 https://www.persee.fr/doc/bspf_0249-7638_1921_num_18_8_13297

    [5] Extrait du Recueil de la Société d'agriculture, sciences, arts et belles-lettres du département de l'Eure ; Éditeurs : Ancelle fils (Évreux)/J. Ancelle (Évreux)/L. Tavernier et Cie (Évreux)/Hérissey (Évreux), 1917 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6327590s/f279.item.r=%22Pont-Echanfray%22.texteImage

    [6] Extrait des Antiquités et chroniques percheronnes: ou recherches sur l'histoire civile, religieuse, monumentale, politique et littéraire de l'ancienne province du Perche, et pays limitrophes, Volume 1 L. Joseph Fret ; Glaçon, 1838 https://books.google.fr/books?pg=PA332&lpg=PA332&dq=Pont+Echanfray&sig=cwVidzhdHfR3WjuRBQclv1dUTjI&id=teEDAAAAYAAJ&hl=fr&ots=eGmUD6KmAK&output=text

    [7] Extrait de https://en.wikipedia.org/wiki/Ralph_the_Red_of_Pont-Echanfray

    [8] Extrait de https://books.google.fr/books?id=LCLsfI8ktQEC&pg=PA366&lpg=PA366&dq=Pont+Echanfray&source=bl&ots=kdLGBY3qZ8&sig=Gew8ft3n_u_1UDUhq1tWwfREzQQ&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiqqKG6wKvcAhUPZ8AKHUDTDKE4ChDoAQgzMAI#v=onepage&q=Pont%20Echanfray&f=false

    [9] Extrait de http://uia-coutances.e-monsite.com/medias/files/hist-medievale-9.pdf

    [10] Extrait de l'article  Camps, enceinte, mottes et fortifications antiques du département de l'Eure par le Dr Doranlo in le Bulletin de la Société des antiquaires de Normandie – Éditeurs Derache (Paris) / Didron (Caen) / Hardel (Rouen) / Le Brument () 1919 – https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k200034x/f147.item.r=%22ferme%20de%20Cantepie%22# 

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