• LES REMPARTS DE NEAUPHE-SUR-DIVE (Orne)

         On trouve la motte féodale des Bas Rouvrais à Neauphe-sur-Dive, petite commune de la vallée de la Dives [NdB]

     

         " Neauphe-sur-Dive, Nealpha en 1373 : possible origine dans les germaniques alach, alah, alcha, « temple », et nev, nivi, « nouveau ». La graphie désuète Dive pour Dives a été conservée dans le nom des communes ornaises (Saint-Lambert-sur-Dive, Tournai-sur-Dive)." [1]

     

    LES REMPARTS DE NEAUPHE-SUR-DIVE (Orne)     LES REMPARTS DE NEAUPHE-SUR-DIVE (Orne)

     

    Plan de situation de la motte de Neauphe-sur-Dive ; blason du département de l'Orne par User:Spedona 01/11/2007Cette image a été réalisée pour le Projet Blasons du Wikipédia francophone. — Travail personneliLe code de ce fichier SVG est valide.Cette image vectorielle a été créée avec Inkscape par User:Spedona 01/11/2007., CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=3003955

     

         " Neauphe-sur-Dive (Orne). — Feuille Vimoutiers. Petite motte avec première enceinte circulaire, et deuxième enceinte ovale, dans un bas-fond marécageux, lieu-dit : Le Moncel. [Mission Falaise - Rugles 1955, n° 155-156.] [2]

     

    LES REMPARTS DE NEAUPHE-SUR-DIVE (Orne)     " Neauphe-sur-Dive :
         La motte de Neauphe est formée de deux retranchements circulaires enveloppés de larges fossés où l'eau séjourne encore.

         L'enceinte la plus haute présente une circonférence de 170 mètres et une élévation de 8 mètres au-dessus du terrain avoisinant.
    Le second retranchement est presque au niveau de l'herbage. Quoique situé non loin du camp de Bierre, nous ne croyons pas que cette enceinte ait une origine aussi ancienne et, jusqu'ici, aucune découverte n'est venue indiquer les antiques civilisations de la pierre. » [3]

     

    Photo aérienne ci-dessus, extraite du site Géoportail.

     

         " Neauphe-sur-Dive ; canton de Trun. - Une motte est entourée de deux fossés, parfois remplis d'eau. La première enceinte et la plus haute compte 170 mètres de tour et 8 mètres au-dessus du sol pour le talus. Quant au second talus extérieur, il est peu apparent (Ce camp est cité dans la Revue Flammarion d'Argentan, pour la première fois, croyons-nous.)" [4]

     

    Sources :

     

    [1] Extrait de Wikipédia

    [2] Extrait de Les fortifications circulaires isolées en France par Jacqueline Soyer, Annales de Normandie Année 1965 15-3 pp. 353-414 ; Fait partie d'un numéro thématique : Etudes d'archéologie normande

    [3] Extrait du Bulletin de la Société normande d'études préhistoriques - Société normande d'études préhistoriques (Louviers) / Société normande d'archéologie préhistorique et historique (Rouen) ; date d'édition : 1895  https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5442402w/f74.image.r=Neauphe%20sur%20Dive?rk=64378;0

    [4] Extrait de l'Essai d'inventaire des mottes et enceintes du département de l'Orne par Louis Coutil, 1909.

    « LES REMPARTS DE CUVERVILLE-S/YERES (Seine-Maritime)LES REMPARTS DE VICTOT (Calvados) »
    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :