• LES REMPARTS DE MIRVILLE (Seine-Maritime)

    LES REMPARTS DE MIRVILLE (Seine-Maritime) LES REMPARTS DE MIRVILLE (Seine-Maritime) LES REMPARTS DE MIRVILLE (Seine-Maritime)

     

    Ci-dessus, photo à gauche extraite du site https://college.clionautes.org/IMG/motte/VIS5.HTM

     

    Mirville :

          " Époque incertaine. — Non loin de l’église actuelle et dans l’enceinte du château, est une motte de vallée assise dans une prairie. " [8]  

     

         « Le château de Mirville (16e – 19e siècle) a été construit dans le milieu du 16e s. sur un site précédemment occupé par une motte féodale dont les vestiges sont ouverts à la visite (NdB : à vérifier). Le château a été la demeure familiale de Pierre de Coubertin et est encore occupé par la famille. » [1]

     

         « Motte du 11e siècle. Le tertre qui subsiste mesure 5 mètres de hauteur et 25 mètres de diamètre. Lors des fouilles entreprises sur le site, on a découvert sous les terres rapportées qui constituent la motte, une couche noirâtre épaisse de 5 à 10 centimètres ainsi que des traces de poteaux sur une surface rectangulaire suggérant l'existence d'un bâtiment de bois primitif qui aurait pu être la résidence des premiers sires de Mirville. » [2]

     

    LES REMPARTS DE MIRVILLE (Seine-Maritime)     « Seine-Maritime. Mirville, le château (Coord. Lambert : 46 338 X 21 385). Située à l'écart du village, au confluent de deux vallons, la motte de Mirville occupe la pointe d'une terrasse en forme d'éperon surplombant de 4 à 5 m un fond marécageux drainé par un ruisseau. Au nord de la motte, le cours d'eau alimente un étang au centre duquel un îlot quadrangulaire supporte un château en pierre du 16e s. Entre la motte et l'étang passe le vieux chemin d'Harfleur à Arques. » [3] 

     

    LES REMPARTS DE MIRVILLE (Seine-Maritime)    LES REMPARTS DE MIRVILLE (Seine-Maritime)

     

     Plan de situation de la motte de Mirville ; blason de la commune de Mirville par Celbusro — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=45645449

     

    Historique

     

    LES REMPARTS DE MIRVILLE (Seine-Maritime)     « S'il est ici dénommé Mirville, ce lieu était autrefois aussi dénommé « Milleville », et le fief figure sous cette appellation sur de nombreuses cartes anciennes comme les cartes de Cassini, et dans de nombreuses publications.

     

     

    Ci-dessus, photo aérienne extraite du site Géoportail.

     

         Foulques de Milleville donna en 1079 l'église de Milleville ou Mireville à l'abbaye de Jumièges. Jean de Milleville est cité avec Pierre de Meulent, échanson de Saint Louis, dans une charte de l'an 1260.

          Le fief de Milleville en Normandie à cinq kilomêtres au nord-ouest de Bolbec est cité dans différents ouvrages, et existe depuis au moins 1140… Dans une publication britannique, on peut lire : « In 1166 Hugh de Milleville held half a knight’s fee of the new feoffment of the English honor of Giffard. Mirville is c.5 kil N of Bolbec, and occurs as Millevilla in charters of Henry II. In 1140 Adam de Millevilla witnessed a charter of Wakelin du Bec giving land in Normandy to the Gilfard foundation of Longueville priority ».

         Cette terre à côté de Bolbec est également mentionnée par l’abbé P. Langlois dans un ouvrage où on peut lire : « Une fois monté sur le trône d’Angleterre, Henri II ne mit plus de bornes à ses largesses. De son manoir de Quevilly, dont il fermit le parc en 1661, il envoya au Mont-aux-Malades une charte qui assurait aux lépreux 70 livres, 6 sous, 8 deniers roumésiens de rente sur la Vicomté de Rouen … enfin une terre au pays de Caux, comprise entre Nointot le chemin de Bolbec à Milleville,... ». Une terre également encore citée «… auprès du chemin de Milleville à Bolbec ». (...)

     

    LES REMPARTS DE MIRVILLE (Seine-Maritime)      Le fief de Milleville comporte en particulier un moulin qui est également représenté sur les cartes : « Moulin à blé et à foulon dit le Grand Moulin. Un moulin à blé, dépendant du fief de Milleville est attesté du 12e au 18e siècle. Il a été reconstruit après l'incendie de 1765. Il fait l'objet d'un règlement d'eau en l'an XI, exploité alors par le meunier Maintru. ».

         La famille de Milleville s'est ensuite installée à Boissay (Londinières) entre Dieppe et Neufchâtel-en-Bray où l'on retrouve sa trace de 1450 à 1900. Certains membres de cette famille se sont ensuite installés à différents endroits dans le département de l'Eure, comme à Perriers-sur-Andelle, Lieurey ou Rouen. » [2]

     

         « On sait qu'en 1079, Foulque de Mirville, autorisé par son seigneur Raoul de Tancarville, camérier du duc de Normandie, fit don à l'abbave de Jumièges de l'église et des dîmes de Mirville. Or, par la suite. ces biens turent usurpés, et redevinrent la propriété de la famille du donateur avant 1147. L'événement intervient précisément au cours d'une période de fléchissement du pouvoir ducal, dont le corollaire fut la multiplication des châteaux « adulté­rins » grâce auxquels les seigneurs rebelles se livrèrent impunément à de nombreuses spoliations sur les biens d'Eglise. Ce contexte n'est peut-être pas sans rapport avec la transformation, à Mirville, d'un habitait de plain-pied en résidence fortifiée sur motte. » [3] 

     

          « A Mirville, sur le chemin d'Harfleur à Arques, il existe une motte, qui a appartenu à un petit lignage vassal des Tancarville. En 1105, l'abbé de Jumièges demanda à Adam de Mirville qu'il confirme les donations jadis faites par son père de l'église et des dîmes du village. Nous verrons plus loin que cette demande de garantie pourrait être consécutive à l'érection du château dans la paroisse. A part Mirville, on ne connaît d'autre château de village, chez les Chambellans, que celui de Bernières. (…)

         Le village actuel de Mirville est situé dans une petite vallée, au nord de Bolbec. Il fit jadis partie de la portion de la forêt de Lillebonne qui avait été inféodée aux chambellans des ducs, les sires de Tancarville. En 1080, il y existait un lignage seigneurial. A cette date, en effet, Foulque de Mirville, muni du consentement de Raoul le Chambellan, fit don au monastère de Jumièges de l'église de Mirville avec toute sa dîme et de six acres de terre. Or dès 1147, l'abbaye de Jumièges ne possédait plus rien à Mirville et plus tard, au 13e siècle, les seigneurs présentaient de nouveau à la cure. C'est donc que la donation de Foulque a pu être récupérée de force par les seigneurs. De fait, il existe à Mirville, à l'écart de l'ancien village, près du château moderne, sur une plate-forme naturelle située au fond d'un vallon, une ancienne motte castrale de forme circulaire, entourée de fossés. Une coupe stratigraphique de la motte effectuée en 1973 nous a permis de constater qu'elle est superposée à un niveau d'occupation d'époque médiévale. Ce dernier a livré quelques tessons ornés d'une glaçure jaunâtre et des rebords de vase offrant un profil en bandeau, qui peuvent dater du 11e siècle ou du 12e siècle. On se trouve donc peut-être en présence, à Mirville, de la transformation d'un habitat de plain-pied en résidence fortifiée. Un indice documentaire permettrait peut-être de situer, en attendant une étude plus complète du site, l'époque approximative de cette transformation. Il a existé dans le fonds des archives de Jumièges une charte datée du 13 septembre 1105, par laquelle l'abbé Urson demandait à Guillaume de Tancarville d'engager Adam de Mirville, le fils de Foulque, à confirmer les donations jadis faites par son père. Or un tel acte est des plus insolite, car c'est à notre connaissance la seule confirmation d'intérêt local qu'un abbé de Jumièges se soit fait délivrer. On se contentait en principe de récapituler globalement, de temps à autre, l'ensemble du temporel, sous la garantie solennelle du pape ou d'un prince régnant. En sorte que l'on peut se demander si en 1105 les biens de Jumièges à Mirville n'étaient pas soumis à une menace très précise, contre laquelle l'abbé aurait tenté de se prémunir. Ailleurs, il ne manque pas d'exemples où des chartes laissent pressentir chez des gens d'Église une inquiétude consécutive à la construction d'un château dans le voisinage de leurs terres. Il semble que la suite des événements donne raison à une telle hypothèse, car, si les biens de Mirville ne paraissent pas avoir été inquiétés entre 1080 et 1105, ils sont perdus pour le monastère avant 1147. Au surplus, le contexte politique s'y prête ; c'est en effet en 1105 qu'Henri Ier fait un voyage en Normandie au cours duquel, pour isoler le duc Robert, il soudoie la plus grande partie du baronnage normand, dont peut-être Guillaume de Tancarville, seigneur d'Adam de Mirville.

         C'est donc peut-être par la transformation de sa demeure en château qu'Adam de Mirville reprit possession des biens jadis donnés par son père à Jumièges. D'autres annexions furent sans doute réalisées durant la même période. On ne peut manquer d'être frappé par la différence existant entre la donation de Foulque et celle faite vers 1140 et 1150 par son fils à Boscherville de la dîme de son moulin de Bolbec. Dans la première, Raoul le Chambellan présente la donation comme issue de lui et Foulque a pour seul garant son fils. Dans la seconde, au contraire, Adam ne requiert pas le consentement de son seigneur et il est entouré d'un petit groupe de dépendants personnels, Geoffroy de Brilly, Hugues de Goustimesnil et Guillaume Calletot. Tout se passe comme si Adam de Mirville avait réussi à gravir un échelon dans la hiérarchie nobiliaire en constituant autour de lui une petite cour féodale ; celle-ci donne une image sans doute assez fidèle de la composition foncière de la seigneurie nouvellement agrandie.

         C'est peut-être un processus semblable qui explique que dans certains cas, de vieux fiefs de chevaliers de village se sont accrus hors de leurs limites initiales sans que soient connues les circonstances exactes qui ont abouti à ce résultat. C'est par exemple le cas de Bréauté. » [7]   

     

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          « Le fief de Mirville est attesté en 1080, relevant de Tancarville. En 1105, Adam de Mirville ayant pris part au conflit entre Henri Beauclerc et Robert Courteheuse a certainement effectué des travaux de fortification dont il subsiste une motte. En 1150, sont signalés un étang et un moulin seigneurial sur la rivière de Bolbec. Un manoir est construit au 16e siècle, à proximité de la motte, pour la famille le Goupil du Mesnil d'O. 

     

    LES REMPARTS DE MIRVILLE (Seine-Maritime)     Au 17e siècle, la chapelle du château devient l'église paroissiale. Le jardin potager a été construit au 18e siècle. A la fin du 19e siècle, le baron Pierre de Coubertin remanie le logis. Des fouilles réalisées sur la motte de 1979 a 1981, ont révélé l'existence de 8 niveaux distincts de bâtiments de bois, édifiés au 11e siècle autour de poteaux fichés en terre. La construction de la motte peut être datée du début du 12e siècle avec deux agrandissements au cours du 12e siècle. Au 16e siècle, ont été amenagés dans la motte deux fours à brique pour la construction du manoir. » [4]

     

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     Deux photos des fouilles de la motte de Mirville à gauche extraites de https://college.clionautes.org/IMG/motte/VIS5.HTM ; photo à droite extraite du site Google Earth.

     

    Descriptif

     

    LES REMPARTS DE MIRVILLE (Seine-Maritime)     « Menacée d'une destruction partielle, la motte a fait l'objet d'un premier sondage en août 1973, qui a été repris et étendu en août 1974 ; ces travaux ont été conduits par Jacques Le Maho, assisté de plusieurs étudiants de l'Université de Rouen. L'ouvrage se présente aujourd'hui comme un tertre circulaire écrêté, haut de 2 m et large de 25 m, qu'un fossé sec profond de 3 m sépare du coteau. Le front de taille d'une excavation creusée en 1941 aux dépens de la motte a été utilisé pour en dresser une coupe partielle, qui fait apparaitre une strati­graphie d'une grande netteté. Sous la motte, sur le sol naturel, repose une couche d'occupation continue, riche en charbon de bois, amalgamée à un sable grisâtre soliflué. Ce niveau est immédiatement antérieur au dépôt des matériaux de la motte, qui ont été déversés au cours d'une campagne unique de construc­tion en nappes distinctes et régulièrement inclinées. Deux fossés circulaires, percées à travers le premier niveau d'occupation lors de l'érection de la motte, ont sans doute reçu les supports d'une armature en bois destinée à stabiliser l'ouvrage ; en témoigne la trace d'une poutre imprimée dans le remplissage de l'une de ces fossés, et engagée dans la masse de la motte. Au sein des terres rapportées sont également apparues plusieurs nappes de charbon de bois farcies de nodules d'argile cuite, qui proviennent vraisemblablement de la destruction d'un four. Les tessons qu'elles contenaient, analogues à ceux, encore trop rares, trouvés dans la couche d'occupation sous-jacente à la motte, peuvent dater du 11e ou du 12e s. » [3]

     

    LES REMPARTS DE MIRVILLE (Seine-Maritime)     « Située dans le parc du château de Mirville, au fond d’une petite vallée drainée par le ruisseau de Brilly, la motte a fait l’objet d’une fouille archéologique complète de 1979 à 1981. Ces recherches ont permis de retracer la genèse et les transformations du siège du fief de Mirville, fief tenu aux 11e et 12e siècle par un lignage de chevaliers de l’entourage des sires de Tancarville.
         Les niveaux les plus anciens (première moitié du 11e s. ?) ont livré les traces de plusieurs bâtiments de bois disposés autour d’une cour quadrangulaire. L’un d’eux, doté d’une cheminée, était à usage résidentiel, les autres correspondant probablement à des dépendances. Vers la seconde moitié du 11e siècle, deux des ailes furent supprimées pour permettre la mise en place d’une petite enceinte fortifiée de terre et de bois autour d’un nouveau corps de logis. Ce dernier, entièrement en bois, se présentait comme un hall de 17 m de long sur 6 de large, divisé en deux nefs par une rangée de poteaux médiane. Les murs étaient légèrement cintrés à la manière des maisons dites « en forme de bateau », les extrémités du bâtiment étaient en abside. Probablement à un seul niveau, l’édifice devait être coiffé d’une volumineuse toiture à quatre pans, de chaume ou de bardeaux. La dernière phase d’aménagement fut marquée par le remblaiement de l’espace intérieur de l’enceinte et l’emmottement du hall. Une nouvelle construction fut sans doute érigée sur la motte, mais on en ignore la nature, les niveaux supérieurs de la motte ayant disparu du fait de l’érosion. Il est assez probable que l’édification de la motte ait un lien avec les troubles qui marquèrent en Haute-Normandie le principat de Robert Courteheuse (1087-1106). Le seigneur de Mirville était alors un nommé Adam, connu notamment pour avoir retiré aux moines de Jumièges, par la force, les biens que son père Foulque de Mirville avait cédés à cette abbaye en 1079. » [5]

     

    Photo ci-dessus : « C'est l'une des nombreuses fortifications que j'ai modelées au fil des ans et ce ne sera pas la dernière. C'est un modèle de 25mm basé sur le dessin reconstitué du château de Mirville au 11ème siècle. » http://unluckygeneral.blogspot.fr/2010/01/norman-proto-castle.html

     

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         " Mirville, cant. Goderville. — Lieu-dit : le Château. — Coord. Lambert : 46,338 — 21,385 — Fief. : Lillebonne, 29

         La motte est située à l'écart du village, au confluent de deux vallons, à l'extrémité d'une terrasse en forme d'éperon qui domine de 4 à 5 mètres un fond marécageux traversé par un ruisseau. A la rencontre des deux vallons, au nord de la motte, le cours d'eau alimente un étang au centre duquel un îlot quadrangulaire supporte un château de pierre du 16e s. La fortification est un tertre circulaire d'un diamètre de 25 mètres. Un fossé sec, profond de 2 mètres, dont seul subsiste l'arc méridional, le séparait du coteau. Il n'y a pas de trace apparente de basse-cour. »  [7]

     

    A proximité :

     

    L'église paroissiale Saint-Quentin :

     

    LES REMPARTS DE MIRVILLE (Seine-Maritime)     « La chapelle seigneuriale de Mirville a été construite au 13ème siècle, sur une butte au nord-est du château féodal, par la famille de Mirville. Le choeur appartient à cet édifice, mais a été remanié (baies murées au chevet). Le portail occidental date du 16e siècle, mais a fortement été restauré au 19e siècle. Au 17e siècle, l'église paroissiale est détruite et réunie à la chapelle du château qui devient l'église paroissiale. En 1750 les autels de pierre de la Vierge, des saints Côme et Damien ont été détruits. La nef a été reconstruite au 19e siécle, ainsi que la sacristie au chevet. » [6] 

     

    LES REMPARTS DE MIRVILLE (Seine-Maritime)     On trouve également sur la commune de Mirville un grand viaduc courbe de chemin de fer, inauguré en 1847. Il a été construit par l'ingénieur anglais Locke, pour prolonger la voie de chemin de fer de Paris à Rouen vers Le Havre. (NDB)

     

    Sources :

     

    [1] Extrait de http://etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/lieu/chateau-de-mirville-mirville.html

    [2] Extrait de Wikipédia

    [3] Extrait de Archéologie Médiévale tome 5 Publications du CRAHM

    [4] Extrait de http://www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateaux-seine-maritime-chateau-a-mirville-chateau-de-mirville.html

    [5] Extrait de http://www.mondes-normands.caen.fr/france/Patrimoine_architectural/Normandie/Pays_caux/bolbec/0417Mirville/index.htm

    [6] Extrait de http://www.actuacity.com/mirville_76210/monuments/

    [7] Extrait de L’apparition des seigneuries châtelaines dans le Grand-Caux à l'époque ducale par Jacques Le Maho https://www.persee.fr/doc/arcme_0153-9337_1976_num_6_1_1307

    [8] Extrait de La Seine-Inférieure historique et archéologique : époques gauloise, romaine et franque... P.214 - par M. l'abbé Jean-Benoît-Désiré Cochet (1812-1875) Éditeur Derache (Paris) 1864 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k32141851/f91.item.r=%22La%20Seine%20inf%C3%A9rieure%20historique%20et%20arch%C3%A9ologique%22 

     

    Bonnes pages :

     

    O Une motte haut-normande : Jacques Le Maho, La motte seigneuriale de Mirville (11e-12e siècles). Recherches historiques et archéologiques. J.-Y. Marin ; Annales de Normandie Année 1985 35-1 pp. 87-88 https://www.persee.fr/doc/annor_0003-4134_1985_num_35_1_1668

    O Château-Gaillard : études de castellologie médiévale, 20 : actes du colloque international de Gwatt (Suisse), 2-10 septembre 2000 Peter Ettel, Anne-Marie Flambard Héricher, T. E. McNeil, Université de Caen. Centre de recherches archéologiques médiévales ; Publications du CRAHM, 2002 - 306 pages https://books.google.fr/books?id=cKm75ynXQD8C&pg=PA92&lpg=PA92&dq=Mirville+motte&source=bl&ots=red6Fcxuk9&sig=ZKVO_CJfYq5EET1WeZN71Ube6e4&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjy6onpkobbAhUDe8AKHY0wB6U4ChDoAQg9MAQ#v=onepage&q=Mirville%20motte&f=false

    O Anglo-Norman Studies VII: Proceedings of the Battle Conference 1984 Reginald Allen Brown ; Boydell & Brewer, 1985 - 245 pages https://books.google.fr/books?id=4DZf-RBtZ7IC&pg=PA220&lpg=PA220&dq=Mirville+motte&source=bl&ots=c-MEzv87bq&sig=QZpWGi1ypPSS9TV_hBXO3hF0KM0&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjy6onpkobbAhUDe8AKHY0wB6U4ChDoAQhLMAc#v=onepage&q=Mirville%20motte&f=false

    O http://www.actuacity.com/mirville_76210/monuments/

    O http://library.la84.org/OlympicInformationCenter/RevueOlympique/1995/orfXXV4/orfXXV4za.pdf

    O http://www.actuacity.com/mirville_76210/monuments/

     

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  • Commentaires

    1
    Bobol
    Mardi 1er Septembre 2020 à 13:56

    Bonjour,

    Merci pour votre article très intéressant ! J'indique juste que la motte se situe en réalité dans le cercle rouge que j'ai placé sur votre plan dans la photo suivante : https://i.imgur.com/ni5xJVF.jpg

    La "destruction partielle" mentionnée dans votre texte est due en partie à l'ancienne écurie ainsi qu'aux logements construits à l'emplacement (les maisons visibles en blanc sur le plan).

    La propriété est privée mais personne ne vous empêchera d'aller voir la motte par vous-même si vous indiquez la raison de votre venue.

     

      • Vendredi 4 Septembre 2020 à 18:52

        Bonjour,

        Merci pour vos précisions que je m'empresse de prendre en compte.

        Ne résidant pas en Seine Maritime, je n'ai pas encore eu l'occasion de me rendre sur place.

        Très cordialement

        Gilles Pivard

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