• LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne)

    Un village du Perche perché :

     

    LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne) LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne) LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne)

     

    Photo aérienne à gauche extraite de http://petitescitesdecaractere.com/fr/nos-petites-cites-de-caractere/la-perriere

     

    LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne)     « Le bourg de la Perrière, Petraria, Lapidaria, situé à l'extrémité de la forêt de Bellême, sur les confins du Perche et du Maine, jouissait autrefois du titre de ville. Du plateau de la butte artificielle où est située l'église, l'œil contemple avec ravissement un des plus beaux spectacles de perspective qu'il soit donné à l'homme d'admirer. » [1]

     

         « A la frontière ouest du Perche, dominant la forêt de Perseigne et la plaine du Saosnois, l’éperon de La Perrière possède au 11ème siècle, un évident intérêt stratégique. » [2]

     

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         «  ...L’occupation du site remonte aux temps préhistoriques, avec une présence attestée à l’Antiquité d’une tribu gauloise : les Aulerques Cénomans. Mais c’est au Moyen-Âge que la Perrière devient une position stratégique grâce à son château fort érigé au 10e siècle par Yves Ier de Bellême. » [3]

     

         « Au 11ème siècle, l’édification d’un château et d’une ville close, placés sous l’autorité des comtes de Bellême, fera de cette cité l’une des plus fortes places du Perche jusqu’à sa destruction par les Anglais en 1429. » [4]

     

    LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne)   LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne)

     

     Plan des tracés présumés des enceintes de la ville et du château de la Perrière d'après la carte de l'abbé Guillet. N ; n'ayant pas trouvé les armoiries de la Perrière voici le blason du Perche par Odejea, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=532820

     

    Histoire :

     

         « Le latin « perreira » est à l’origine du nom de la commune et signifie « carrière de pierre ». Le bourg est construit sur un promontoire calcaire recouvert de sable où affleurent des pierres de roussard, du grès ferrugineux. Appelés communément « grison », ces blocs ont été utilisés pour la construction de la plupart des maisons, soit en soubassement, pour sa grande résistance mécanique, soit en appareillage, alterné avec du calcaire. 

     

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         La position stratégique naturelle de cet éperon, renforcée par la présence d’un étang d’un côté et d’un fossé de l’autre, offrait toutes les conditions favorables à l’installation d’un habitat précoce. Des fouilles ont été entreprises à la fin du 19ème siècle et ont mis à jour des vestiges (tuiles, résidus de fonderie, céramiques, poteries, monnaies, etc…) qui appartinrent aux Aulerques cénomans, l’un des peuples de Gaule. » [4]

     

    LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne)     « La Perrière dès le 11e siècle est composée d’un château et d’une ville ceinturée d’enceinte. » [5]

     

         « C’est Yves Ier, premier seigneur connu de Bellême qui fortifie l’endroit. Ses successeurs confortent le château qui demeure dans la maison de Bellême jusqu’en 1113.

         Cette année-là, Rotrou III comte du Perche, allié au roi d’Angleterre, reprend la forteresse aux Bellême, alliés du roi de France. » [2]

     

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    Ci-dessus, à gauche : une photo aérienne extraite du site Géoportail ; à droite : un plan établi d'après une carte de l'abbé Guillet, document extrait du Pays Bellemois, aire de mise en Valeur de l’Architecture et du Patrimoine ; diagnostic sur la Perrière ; Paysages de l'Ouest, urbanisme et paysage, Forest et Debarre architectes. Document PDF

     

         « L'opinion la plus commune donne pour fondateurs à l'antique et fort château de la Perrière, les comtes Rotrou III et IV, qui le firent construire pour mettre leur comté à l'abri des incursions des comtes du Maine, successeurs d'Hélie. La construction de cette forteresse, une des plus importantes et des plus redoutables du Perche, ne fut commencée qu'après l'an 1114, époque où Rotrou III reçut Bellême et ses dépendances de son beau-père, Henri Ier, roi d'Angleterre. Un étang d'une vaste étendue environnait dans le principe le pied de l'éminence où s'élevait la forteresse, dont l'église actuelle n'était probablement que la chapelle. Les religieux de Chêne-Gallon prélevaient un denier par jour sur le château de la Perrière, une des quatre châtellenies du Bellêmois.

            Après la mort de Guillaume Rotrou, évêque de Châlons, dernier comte de cette dynastie, saint Louis, ou plutôt Blanche, sa mère, alors régente du royaume, confia la garde de la Perrière, en même temps que celle de Bellême, au fameux Pierre de Dreux, dit Mauclerc. Ce vassal félon, profitant de la jeunesse du monarque et des embarras de la régente, s'appropria ces deux places où il se fortifia ; mais la vigoureuse énergie de l'héroïque Blanche ayant triomphé du rebelle par la prise de Bellême, en plein hiver, la Perrière n'essaya pas de résistance et ouvrit ses portes à l'héroïne triomphante. » [1]

     

         « La tradition veut qu’à cette époque, saint Louis et sa mère aient fait leurs dévotions dans la chapelle du château dédiée à saint Étienne. » [6]

     

         « Une transaction conclue entre le monarque et le vassal félon, en 1354 (1254 plutôt ? NDB), remit la Perrière à l'entière disposition du roi. La Perrière de puis cette époque a toujours appartenu aux comtes du Perche et d'Alençon. » [1]

     

    LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne)     « Au mois de mars 1268, saint Louis donna en apanage à Pierre, son cinquième fils, pour en jouir après son décès, Mortagne, Mauves ( qui s'appelait alors Manves ), Bellême, la Perrière, avec ce qui en dépendait, tant forêts, que fiefs et domaines ; il y ajouta tout ce qu'il possédait dans le comté du Perche, ainsi que dans le comté d'Alençon, savoir: Alençon, Essey, avec les forêts, droits, la grande justice, qu'on appelait Plaid-de-l'Epée, tant en fiefs qu'en domaines, etc., à la charge, par ledit Pierre et ses hoirs, de tenir les biens en hommage-lige de la couronne, avec la clause expresse que, si le prince venait à mourir sans enfants, le tout reviendrait au domaine de la même couronne. » [7] 

     

         « Charles ler de Valois, comte du Perche, assigna, en 1312, le château de la Perrière aux enfants de Mahaud de Saint-Pol, sa troisième femme. Cette princesse eut par la suite la Perrière en douaire ; elle lui fut cédée après la mort de son mari, par le roi Philippe de Valois. » [1]

     

         « En 1326, les châteaux de Bellême et la Perrière furent donnés à Philippe de Valois lors des partages royaux. » [5]

     

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         « Puis vinrent les jours les plus sombres de l’histoire locale avec la domination anglaise lors de la guerre de Cent Ans. » [6]

     

         « Durant la Guerre de cent ans, les Anglais prennent la Perrière et détruisent le château et la cité. » [3]

         « Warvich, comte de Salisbury, généralissime des troupes Anglaises, s'empara du château de la Perrière en 1418, et le fit raser en 1428, lorsqu'il allait faire le siège d'Orléans. » [1]

         « Thomas de Montages à qui Henri V avait donné le comté du Perche en récompense, fit raser la forteresse en 1429, avant son départ pour le siège d’Orléans, se croyant incapable de la garder en son pouvoir, face aux seigneurs percherons qui préféraient tout perdre, plutôt que de prêter serment au roi d’Angleterre. » [6]

             « Le château ne sera jamais reconstruit. » [3]

     

    LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne)     « Cette destruction n’empêcha pas, un siècle plus tard, Henri d’Albret, roi de Navarre et comte du Perche, et Marguerite de Valois, usufruitière des terrains, de vouloir asservir les habitants à la garde du château démoli.

         S’insurgeant contre « le comble du ridicule et l’effet du plus odieux despotisme de vouloir les arracher à leurs travaux journaliers, pour aller, sentinelles désœuvrées, veiller à l’entour de quelques informes décombres », les habitants en appelèrent au Parlement de Paris qui débouta en mars 1535 Henri d’Albret de ses extravagantes prétentions.

         Sur l’emplacement du château fut fondé le collège de La Perrière, le 14 mai 1607, par Jean Dadré, illustre théologien natif de la commune et député aux États de la Ligue. » [6]

     

    Vestiges de la forteresse disparue :

     

         « Il n'existe plus aucuns vestiges de ce château, dont Bar et Bry ont encore vu des débris. » [1]

     

         « De cet ensemble il ne reste rien, il fut rasé au début du 15e siècle sur ordre de Henri V roi des anglais, on retrouve des substructions dans les propriétés voisines. (...)

     

    LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne)LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne)     « De la chapelle seigneuriale, il reste des éléments de maçonnerie dont la façade Nord de l’église constituée ainsi. » [5]

             « Agrandie et modifiée à plusieurs reprises depuis le 12ème siècle, l’église Notre-Dame du Rosaire était l’ancienne chapelle de la forteresse aujourd’hui disparue. La reine Blanche de Castille et Saint-Louis seraient venus y faire leurs dévotions. Le clocher repose sur les fondations d’une tour du château. (...) 

        Depuis 1998, l’église retrouve toute sa splendeur grâce une importante campagne de restauration. A voir : la tour et le porche. » [4]

     

    LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne)     « Le cimetière a été implanté sur les restes de l’ancien château. » [5]

              « Le cimetière primitif s’étend alors au pied de la façade sud, l’emplacement de l’ancienne barbacane du château (le cimetière actuel) est transformé en pré qui devient au 15è siècle la propriété d’une « Fabrique », conseil de clercs et de laïcs chargés de gérer les revenus affectés aux travaux de l’église. Vers 1850, les dimensions réduites du cimetière imposent le déplacement de celui-ci dans le pré au nord-ouest de l’église, sur le site de l’ancien château. Délimité par un muret de grès, il n’occupe pas toute la place, l’autre partie (au nord) devant le presbytère est conservée en l’état. Dans les années 1880, des pins sont plantés sur le pourtour de l’éperon. L’ensemble est classé parmi les sites en août 1932. » [2]

     

    LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne)     « Le presbytère se situe à proximité de l’église Notre-Dame du Rosaire. Il a été très probablement construit par Marguerite de Navarre (1492-1549), soeur de François Ier et comtesse du Perche. Le logis actuel date du 18ème et repose sur l’ancien château fort. Les piliers de son porche portent encore chacune une fleur de lis, étonnamment épargnées par la Révolution. Le presbytère a été transformé dernièrement en gîte rural communal. » [4]

     

         « Le Prieuré : Il aurait été construit vers 1250 à l’initiative de la communauté des moines bénédictins établie dans le village voisin, Saint Martin-du-Vieux-Bellême. La tour de l’angle ouest du bâtiment date de la première moitié du 15ème siècle. Des vestiges tourelles de guet de l’ancienne forteresse  sont encore lisibles. On dit que des passages souterrains parcourent la propriété… » [4]

     

    LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne)     « Le collège : Jean Dadré, chanoine et théologien célèbre natif de La Perrière en 1550, fonda cet établissement en 1607. Le bâtiment repose sur des caves et maçonnerie de l’ancienne forteresse. » [4]

     

         « La maison du Rosaire : Elle aurait été construite à l’initiative de la confrérie religieuse du Rosaire, établie dans le Perche à partir du 15ème siècle. L’une de ses caves abrite l’entrée d’un souterrain qui conduisait au donjon. » [4]

     

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         « Le site de l’Eperon : Classé depuis 1932, le site de l’éperon se situe à l’extrémité ouest du village. Il marque une rupture paysagère entre la plaine de Mamers et le relief bosselé du Perche. Les roches présentes dans le sous-sol ont influencé l’architecture des maisons du village : grès roussard, calcaire…

     

    LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne)     Un sentier, souligné par des pins laricio, contourne le cimetière. Il permet de se promener le long de la « corniche ». Ici et là, à travers les arbres, vous pourrez profiter de remarquables panoramas sur les départements de l’Orne et de la Sarthe: le bois de Clinchamps, le clocher de 17 églises, la forêt de Perseigne et le « plain » de l’ancienne province dit Saosnois... » [4]

     

    A voir également :

     

    LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne)     « Guillaume Manger, natif de la Perrière fut évêque de Seez de 1320 à 1356, il y fit construire un logis « Le logis de l’Evêque ». Le bâtiment actuel qui a conservé le nom, a été reconstruit sur les fondations du bâtiment originel en 1636. » [5]

         « Guillaume Mauger, natif de La Perrière devient évêque de Sées. Sa maison natale, dénommée « le Logis de l’Evêque » lui sert de résidence d’été. Fortement endommagée par les Anglais en 1429, la propriété est reconstruite au 19e siècle [au début du 17e siècle plutôt comme il est dit ci-avant, NDB] par la famille Fontenay. Son porche entouré de deux pavillons lui donne un caractère défensif et imposant. » [3] 

     

    A proximité : le château de Monthimer ou Montimer 

     

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     LES REMPARTS DE LA PERRIERE (Orne)     « Un peu en dehors du village, à l’orée de la forêt de Bellême, se trouve le château de Monthimer. Son origine suscite bien des interrogations.

         Isolée devant le château, la tour de guet, circulaire, est couronnée d’une galerie de mâchicoulis. Au rez-de-chaussée, une porte flamboyante est datée de 1506. L’accès primitif se trouvait au premier étage, avec une poterne à pont-levis. A l’ouest se trouvent les niches de guet, et des meurtrières s’ouvrent aux angles sud-ouest et nord ouest. La charpente porte la date de 1742. C’est à la fin du 19ème siècle que la forteresse a été castellisée. » [4]

     

    Sources :

     

    [1] Extrait des Antiquités et chroniques percheronnes, ou Recherches sur l'histoire civile, religieuse [etc...] de l'ancienne province du Perche et pays limitrophes par Louis Joseph Fret, 1840 https://books.google.fr/books?id=vvcTAAAAQAAJ&pg=PA437&dq=La+Perri%C3%A8re+histoire&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjPqpDfwbzcAhVKy6QKHf4CCegQ6AEIOTAD#v=onepage&q=La%20Perri%C3%A8re%20histoire&f=false

    [2] Extrait de l'Office du Tourisme du Pays de Pervenchères ; fiche de la DREAL Basse-Normandie n°61011 ; Date de parution : septembre 2013

    [3] Extrait de http://www.petitescitesdecaractere.com/sites/default/files/user/122/uploads/72dpi_a5_petites_cites_de_caractere.pdf

    [4] Extrait de https://laperriere.net/

    [5] Extrait de Pays Bellemois, aire de mise en Valeur de l’Architecture et du Patrimoine ; diagnostic sur la Perrière ; Paysages de l'Ouest, urbanisme et paysage, Forest et Debarre architectes. Document PDF

    [6] Extrait de La Perrière depuis son origine jusqu’à nos jours, sa position avantageuse par l’abbé Guillet. 

    [7] Extraits des Antiquités et chroniques percheronnes ou recherches sur l'histoire ...du Perche, et pays limitrophes par Louis-Joseph Fret, 1838 https://books.google.fr/books?id=ugKTNnbpTgIC&dq=La+Perri%C3%A8re+histoire&hl=fr&output=text&source=gbs_navlinks_s

     

    Bonnes pages :

     

    O Pays Bellemois, aire de mise en Valeur de l’Architecture et du Patrimoine ; diagnostic sur la Perrière ; Paysages de l'Ouest, urbanisme et paysage, Forest et Debarre architectes. Document PDF https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=4&ved=2ahUKEwifg_vFj8DcAhUDyRoKHavJD4gQFjADegQIBRAC&url=https%3A%2F%2Fwww.cdcpaysbellemois.fr%2Fapp%2Fdownload%2F12146209926%2FLA%2BPERRIERE%2B-%2BDiagnostic%2Bfinal.pdf%3Ft%3D1507126082&usg=AOvVaw3baGXTJl8fGluncV4iXoiD

    O https://laperriere.net/

    dont des photos :

    O https://laperriere.net/un-village-de-charme/au-fil-des-ruelles/

    O http://petitescitesdecaractere.com/fr/nos-petites-cites-de-caractere/la-perriere

    O https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6421248j/f363.image.r=%22bourg%20de%20la%20Perri%C3%A8re%22?rk=21459;2

     

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  • Commentaires

    1
    Roux
    Mardi 12 Février 2019 à 18:23

    Le logis de l évêque à La Perriere a été reconstruit début 17eme et non au 19eme

    Merci de corriger

      • Mardi 12 Février 2019 à 18:35

        Erreur corrigée. Merci !

        Cordialement

        NDB : "Note du Bloggeur" GP

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