• LES REMPARTS DE GRANVILLE (Manche)

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         « 1439, le 26 octobre, c’est la date où Sir Thomas de Scales, sénéchal de Normandie, officier anglais de la guerre de Cent Ans acheta la Roque à Jean d’Argouges. Sur ordre du roi Henri VI d'Angleterre, afin d’isoler le Mont-Saint-Michel, dernière tête de pont française en territoire normand, il fit édifier l’enceinte de Granville. En 1440 commença la construction de la forteresse. Pour protéger encore cette ville, Thomas de Scales fit creuser un fossé entre la presqu’île et le continent, de sorte que la mer et les eaux du Boscq fassent de la pointe une île.

     

    LES REMPARTS DE GRANVILLE (Manche)     Mais, le 8 novembre 1442, par ruse, Louis d'Estouteville reprit le château qui resta dès lors définitivement aux mains des Français. Charles VII décida de faire de Granville une ville fortifiée et signa en 1445 une charte octroyant armoiries et exemptant d’impôts les habitants. Dès 1450, les navires pêchaient à Terre-Neuve. En 1470, Louis XI visita la ville pour s’assurer de sa fidélité dans le conflit qui l’opposait aux Bretons et Bourguignons. (...)

         En 1562 débuta la réfection des remparts et une garnison s’installa dans les casernes. Puis en 1593 les clefs de la ville furent présentées à Henri IV, marquant l’importance de la cité pour le royaume. Sous Louis XIII, les fortifications furent adaptées à l’artillerie. (…) En 1688, Louvois fit raser une partie des défenses de la ville.

     

    LES REMPARTS DE GRANVILLE (Manche)

     

    La ville de Granville par par Caspar Merian, Frankfurt, 1657

     

         Mais en 1695, durant la guerre de la Ligue d'Augsbourg, les Anglais bombardèrent la cité, détruisant vingt-sept maisons. Vauban aurait alors étudié des améliorations à apporter à la place forte sans avoir le temps de les réaliser.

     

    LES REMPARTS DE GRANVILLE (Manche)     À la suite de cette attaque, les remparts furent relevés et augmentés en 1720. Puis, à partir de 1749, des travaux d’aménagement et d’agrandissement du port furent entrepris, avec, en 1750, la pose du môle toujours présent aujourd’hui. Ces travaux s’achevèrent en 1757, entre-temps, une nouvelle caserne fut construite. En 1763, un incendie ravagea les faubourgs. En 1777, une nouvelle caserne fut ajoutée, la caserne Gênes toujours présente aujourd’hui. Le 20 juillet 1786, un nouvel incendie se déclara, cette fois dans le quartier de la Tranchée, aux portes de la citadelle.

     

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    Deux cartes postales du siège de Granville ; à droite, l'incendie de Granville par Jean-François Hue — Historial de la Vendée, Les Lucs sur Boulogne, Domaine public, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=3313396

     

    LES REMPARTS DE GRANVILLE (Manche)LES REMPARTS DE GRANVILLE (Manche)     Du 14 novembre 1793 au 24 brumaire de l’An II eut lieu le siège de Granville par les Vendéens au cours de la virée de Galerne. Repoussés par la population, ayant perdu deux mille hommes, ils durent abandonner l’assaut mais partirent en incendiant la rue des Juifs. Le 14 septembre 1803, les Anglais bombardèrent à nouveau la ville après avoir imposé un blocus des côtes. » [1]

     

    Ci-dessus, au siège de Granville, la mort de Desmaison http://www.wikimanche.fr/Fichier:Si%C3%A8ge_de_Granville_mort_de_Desmaison.jpg

     

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    Plan hypothétique des fortifications de Granville ; blason de Granville par Manassas Cette image a été réalisée pour le Projet Blasons de la Wikipédia francophone — Travail personnel iLe code de ce fichier SVG est valide.Cette image vectorielle a été créée avec Inkscape par Manassas., CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=2731789

     

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    « En flânant dans les ruelles de la Haute Ville

         Perchée sur son promontoire rocheux, la Haute Ville s’impose d’emblée à la vue de quiconque arrive dans la cité, par terre ou par mer, voire par les airs.

         Pour découvrir les charmes de la cité historique, il faut la visiter à pied. Mesurant 400 m de long sur 200 m de large, on peut en faire le tour en longeant ses remparts ou en serpentant dans ses nombreuses ruelles et venelles.

     

    LES REMPARTS DE GRANVILLE (Manche)Porte Saint-Jean ou Grande Porte

         Pour pénétrer dans la Haute Ville, franchissez l’une des deux portes qui, à l’origine, en protégeaient l’accès : la Porte Saint-Jean ou la Grande Porte. Un autre point d’accès a été créé au 20e siècle : « L’escalier du Moulin à Vent comporte pas moins de 180 marches mais permet de jouir d’un panorama unique », glisse Emmanuel Collignon, président des Amis de la Haute Ville. Ces marches mènent de la place Foch, où est situé le casino, à la place de l’Isthme.

     

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         L’entrée principale dans la forteresse se fait par la Grande Porte en passant sur un pont-levis construit en 1630. Placés de chaque côté de cette porte, deux canons servaient de chasse-roues dans les temps plus anciens.

         La Grande Porte est protégée sur sa gauche par un bastion appelé l’Oeuvre. C’est ici qu’en 1793 se déroula l’assaut des Vendéens.

     

    LES REMPARTS DE GRANVILLE (Manche)Vue sur les toits

         Une fois la porte franchie, on passe devant la guérite de pierre qui abritait le garde de la Milice puis on peut choisir de grimper, sur la droite, l’escalier de la rue Lecarpentier. En baissant les yeux sur les marches, formées de dalles provenant de l’ancien rempart, l’on peut distinguer la trace des entailles qui permettaient de les réunir les unes aux autres avec un coin de bronze. On trouve, à droite le Logis du Roi qui abrite le musée d’Art et d’Histoire et ses collections qui retracent l’histoire locale et normande. La rue longe ensuite le rempart Sud qui offre une vue à 180° sur les toits caractéristiques de la ville basse, recouverts de zinc, et les ports.
         Si l’on ne choisit pas cette option, il faut continuer tout droit par la rue Cambernon pour déboucher au cœur de la Haute Ville, sur la place éponyme, carrefour des deux seules rues où est autorisée la circulation automobile : les rues Notre-Dame et Saint-Jean.

     

    Vue aérienne ci-dessus extraite de https://www.homelidays.com/hebergement/p6231260]

     

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    LES REMPARTS DE GRANVILLE (Manche)Vierge à l’enfant

     

         Vers la gauche, la rue Notre-Dame conduit vers l’église du 15e siècle. Les pierres qui ont servi à sa construction proviennent des îles Chausey, révèle Hélène Lassau, présidente de l’association des Amis de l’église Notre Dame du Cap-Lihou. En 1113, les pêcheurs du rocher de Lihou remontèrent dans leurs filets une statue en bois d’une Vierge à l’enfant. Ils la récupérèrent et l’installèrent dans une chapelle édifiée en son honneur. Cette statue de bois a disparu, probablement à la fin du 14e siècle. Celle qui la remplace dans l’église a été sculptée dans du calcaire de Caen, au début du 15e siècle. Près de l’église, dans le petit jardin rempli de fusains, subsistent quelques tombes d’un cimetière datant d’avant la Révolution. On peut observer, dans le rempart, la porte dite Des Morts qui permettait de rejoindre le port. Sur la place du parvis, on remarque la Maison du Guet, édifiée vers 1905.
         Au coin de la rue la rue Cambernon et de la rue Notre-Dame se trouve l’ancienne demeure de François de Matignon, qui devint prince de Monaco par son mariage avec Louise Grimaldi en 1715. En continuant à droite, au n°54, on entrevoit, au travers de grilles monumentales, la belle façade de l’Hôtel Le Mengnonnet, l’un des grands armateurs granvillais. Juste en face, se trouve l’ancien tribunal de commerce qui a été reconverti en théâtre de poche, le Théâtre de la Haute Ville. Le n° 76, était la résidence du lieutenant de l’Amirauté. Puis, c’est l’arrivée sur la place de l’Isthme et le musée d’Art Moderne Richard-Anacréon. Sur cette place, d’où l’on peut jouir d’un magnifique panorama sur les côtes situées vers le Nord, se trouve l’entrée des fameux souterrains par lesquels les Vendéens tentèrent d’envahir la cité.

     

    Demeures remarquables

     

         Depuis la place de l’Isthme, on a le choix entre se diriger vers la rue Saint-Jean et la rue du Nord ou la Promenade Charles VII qui domine le casino et la Tranchée des Anglais et permet de découvrir la partie la plus ancienne des remparts et la caponnière.

         La rue Saint-Jean abrite, tout comme la rue Notre-Dame, d’anciennes résidences d’armateurs et de remarquables bâtisses en granit de Chausey, des 17e et 18e siècles. Au n° 32, l’Hôtel Dry de la Turbotière date de 1692. La maison du n° 37, l’une des plus anciennes (16e siècle), possède des pilastres reposant sur une moulure en plate-bande, une corniche, deux grands linteaux de bois supportant le granit et les trois dalles-chalands de l’ancienne boutique. Elle abritait des messes clandestines pendant la Terreur.

         De superbes pierres d’étal en granit garnissent de nombreuses fenêtres, attestant la présence d’une multitude de commerces. En 1896, la Haute Ville en comptait  plus de 50 dont 15 débits de boisson.

         Au n°39, la Maison du Puits qui Pleure possède deux puits dans sa cave ;  au 45, l’hôtel Ganne-Destouches date de la fin 17e ;  au 47, vous pourrez admirer une maison du 16e siècle. Au n° 61, l’Hôtel Picquelin de Grainville est doté de jolies chatières de toit. Au n° 3, la maison dite d’Adam et d’Eve vous surprendra avec ses bas-reliefs en terre cuite.
         Tout au long des deux rues principales de la Haute Ville, il faut franchir quelques marches pour accéder aux demeures. La légende dit que plus le nombre de marches était important plus les propriétaires étaient riches… 

     

    Le charme des venelles

     

         La balade dans la Haute Ville serait incomplète si l’on ne parcourait en zigzag  les nombreuses petites rues et venelles qui coupent les deux rues principales, permettant aux défenseurs de rejoindre rapidement les murailles Nord et Sud, aux noms évocateurs de la vie qui y régnait jadis : rues du Marché à la Chaux, du Marché au Cuir, du Marché au Pain, du Marché au Blé, de l’Égout, du Télégraphe, de l’Auditoire…

         La Haute Ville abrite de nombreux ateliers d’artistes, des galeries d’art, quelques crêperies et un unique bar, La Rafale, vestige des nombreux estaminets que connut la citadelle, haut lieu des fins de soirées de Carnaval, un endroit qui a su préserver son identité et dont la terrasse offre une pause bienvenue après la balade. » [2] 

     

    LES REMPARTS DE GRANVILLE (Manche)  LES REMPARTS DE GRANVILLE (Manche)

     

    Plans de Granville : à gauche, plan de Jean Magin ; à droite , plan de Jacques Nicolas Bellin. Ces plans sont consultables sur Gallica.

     

    LES REMPARTS DE GRANVILLE (Manche) LES REMPARTS DE GRANVILLE (Manche)

     

    Autres plan de Granville : à gauche celui extrait de l'Atlas de Trudaine établi de 1745 à 1780 pour les Ponts et Chaussées.

     

    Sources :

     

    [1] Extrait de Wikipédia

    [2] Extrait du site : http://www.cotemanche.fr/2015/04/11/en-flanant-dans-les-ruelles-de-la-haute-ville/

     

    Bonnes pages :

     

    Sur l'histoire de Granville :

    http://www.vmvg.fr/patrimoine-granvillais/patrimoine-architectural/35-le-granville-militaire.html

    Rapport de SICARD, commissaire de la Marine, du 24 juillet 1731 :

    https://fr.geneawiki.com/index.php/50218_-_Granville_-_Rapport_Sicard

    Sur le siège de Granville de 1793 :

    http://www.vmvg.fr/patrimoine-granvillais/patrimoine-architectural/34-le-siege-de-granville.html

    http://historique-granville.wix.com/accueil#!siege-de-granville-1793/c1hgd

    http://www.wikimanche.fr/Si%C3%A8ge_de_Granville_(1793)

    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6259758g.r=vendeens.langFR

    http://le50enlignebis.free.fr/spip.php?article12631

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Si%C3%A8ge_de_Granville

     

    LES REMPARTS DE GRANVILLE (Manche)

      

    Granville vers l’an 1620. Huile sur toile, reproduction du tableau de Claude Vignon qui était placé dans la Grande Galerie du château de Torigni-sur-Vire détruit en 1944. (Coll. Musée du Vieux Granville.) http://www.patrimoine-normand.com/index-fiche-30992.html

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  • Commentaires

    1
    GRANVILLE360°Visites
    Mardi 29 Janvier 2019 à 11:22

    GRANVILLE, UNE DESTINATION DE CHARME

     

    Granville, est une station balnéaire normande, située sur le littoral ouest du département de la Manche. Elle ferme la baie du Mont-Saint Michel.

    Perchée sur son rocher, la Haute-Ville fortifiée aux maisons de granit, ceinturée de remparts, domine ses ports de pêche, de commerce, et de plaisance, et surplombe la ville commerçante (hôtels, restaurants, campings, auberge de jeunesse, aire de camping-cars, Office de Tourisme Intercommunal...).

    Dotée de 3 plages, du premier Centre Nautique de France, d'un centre de thalassothérapie, d'un casino, d'un centre de rééducation fonctionnelle, d'une gare maritime et d'une gare SNCF reliée directement à Paris, Granville est une ville très vivante, de 13 000 habitants. Une salle de concerts et de spectacles, un théâtre, une médiathèque, un cinéma, plusieurs musées, complètent l'offre culturelle.

     

    Un peu d'histoire :

    Granville doit son nom à ses premiers occupants, après les Vikings. En effet, Guillaume le Conquérant demande son aide en 1066 à la famille Grant et, en récompense de sa fidélité pendant la conquête de l'Angleterre, lui attribue les terres situées sur ce promontoire granitique.

    Au XVe siècle, les Anglais conquièrent la Normandie, à l'exception du Mont-Saint-Michel. En 1439, l'officier anglais Sir Thomas Scales découvre la Roque de Lihou - le premier nom de Granville – l'achète, et construit une enceinte fortifiée, ainsi que les fondations de l'église. En 1442, les défenseurs du Mont-Saint-Michel reprennent le bastion et chassent les Anglais. Charles VII, comprend l'intérêt stratégique de Granville, décide d'en faire une place forte et signe en 1445 une charte exemptant d'impôts les habitants qui s'y installeront. Dès 1520, les bateaux de Granville et des environs pêchent déjà la morue sur les bancs de Terre Neuve. Au fil des siècles, Granville devient un important port morutier. Sous Louis XIV, les bateaux ont également le droit de s'armer pour devenir corsaires. Granville en compte 80, et donne 15 amiraux à la France.

    Ville de garnison, différentes casernes sont construites sur le Roc entre 1750 et la fin du XIXe siècle

    A partir des années 1850, la mode des bains de mer attire des estivants toujours plus nombreux.

    Stendhal, Jules Michelet et Victor Hugo séjournent à Granville, appréciant le pittoresque de la ville et l'activité du port. En 1870, la ligne de chemin de fer Paris – Granville est inaugurée.

    Durant la guerre, aux ouvrages militaires, les Allemands ajoutent des blockhaus du "Mur de l'Atlantique".

    La ville est libérée sans combat ni destructions le 30 juillet 1944 par l'armée américaine du général Patton.

     

    L'environnement naturel :

    A partir du formidable point d'observation que constitue la Haute-Ville, nous découvrons un panorama à 360°. Tout d'abord, à 17 km au large, on aperçoit l'archipel des îles Chausey, qui constitue le quartier maritime de Granville depuis 1802. 52 îles et îlots à marée haute, 365 à marée basse. Accessible à partir de la gare maritime, haut lieu du patrimoine naturel, ce site classé est un espace protégé pour sa biodiversité : oiseaux, faune sous-marine, crustacés, coquillages, estran… Il faut dire que Granville et Chausey bénéficient des plus grandes marées d'Europe, ce qui est propice à la pêche à pied.

    Vers le nord, on distingue la côte des havres du Cotentin, et par temps clair, l'île de Jersey. Les îles Anglo-normandes sont reliées à Granville par bateau toute l'année.

    Vers le sud, s'ouvre la baie du Mont-Saint-Michel, avec notamment son secteur balnéaire de Saint-Pair et de Jullouville.

     

    Le patrimoine historique :

    Granville regroupe de nombreux points d'intérêt touristique : la Haute-Ville (quartier historique) avec ses remparts, ses venelles, la Grand'Porte, la porte Saint-Jean, le phare du cap Lihou, et l'église Notre-Dame où a été baptisé Christian Dior. Les musées : Musée d'Art et d'Histoire (fermé provisoirement pour travaux), la Halle au Blé, le Musée d'Art Moderne Richard Anacréon, les jardins et le Musée Christian Dior (sa maison d'enfance), le Roc des Curiosités (aquarium) ...

    Les animations :

    L'agenda de chaque saison se trouve émaillé de très nombreuses manifestations culturelles, sportives, touristiques, historiques, religieuses, économiques ... Le célèbre Carnaval de Granville, inscrit au Patrimoine Immatériel de l'UNESCO, se déroule tous les ans durant 5 jours, le week-end précédent le Mardi-Gras et accueille plus de 150 000 carnavaliers, avec une parade de 44 chars confectionnés par les associations locales.

    Alors... Envie de venir découvrir la Cité Corsaire ? Bienvenue à Granville !

     

    Didier DUCASTEL,

    Guide-accompagnateur à Granville

    06 47 968 007

    granville360.visites.guidees@gmail.com

    www.granville360visitesguidees.sitew.fr

    2
    michel
    Mercredi 15 Avril 2020 à 10:46

    La plupart des historiens parlant de l incendie de la rue des juifs ne serait pas du fait  des vendéens en se retirant, .mais des granvillais qui subissaient de lourdes pertes dues aux tireurs postés sur les toits

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