• LES REMPARTS DE FERVAQUES (Calvados)

     

     

         « Le château de Fervaques aussi appelé domaine de Fervaques ou château le Kinnor est un édifice situé sur les anciennes communes de Fervaques et Cheffreville-Tonnencourt et la commune nouvelle de Livarot-Pays-d'Auge dans le département français du Calvados. Construit essentiellement aux 16e et 17e siècles, il a été remanié en particulier les intérieurs au 19e siècle. L'élégance de l'ensemble conservé confère au domaine un rôle de « témoignage d'un art de bâtir en Normandie, aux prémices de l'âge classique ». [1]

     

     

         « Ce château constitue l'un des édifices majeurs du Pays d'Auge. Il a été construit de 1597 à 1602 par l'architecte François Gabriel (ancêtre de la célèbre lignée des Gabriel) pour Guillaume de Hautemer, sur un manoir plus ancien (dont le seul vestige est le colombier). L'aménagement d'un potager, la plantation de pommiers et la modernisation du décor intérieur sont intervenus au 19e siècle (cheminées, boiseries, etc.). Au début du 19e siècle, le château a été acquis par Madame de Custine. Chateaubriand y a effectué plusieurs séjours. Malgré les modifications du 19e siècle, l'importance de l'édifice a été soulignée par Ruprich-Robert dès 1925. » [2]

     

       

     

    Plan de l'emplacement du château de Fervaques ; blason de Guillaume de Hautemer de Grancey par Jimmy44Cette image a été réalisée pour le Projet Blasons du Wikipédia francophone. — Travail personneliLe code de ce fichier SVG est valide.Cette image vectorielle a été créée avec Inkscape par Jimmy44., CC BY 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=3488500

     

     

    Ci-dessus à gauche plans extraits du cadastre napoléonien de 1834 ; à droite vue aérienne extrait du site Géoportail.

     

    Histoire

     

         « … Ce domaine eut, entre autres propriétaires, le maréchal de Fervaques, les de Bullion, les Montmorency-Laval, la marquise de Custine, le comte de Porte puis par alliance les de Montgommery. » [3]

     

    La famille de Brucourt

     

         « Les premiers possesseurs connus de ce domaine paraissent avoir été les de Brucourt. Cette famille paraît avoir eu certains liens avec la famille Bertrand de Roncheville dont l’importance grandit en Normandie à l’extrême fin du 11e siècle mais surtout dans les premières décennies du siècle suivant et l’un de ses membres Robert, fut même investi dans la seconde moitié du 12e siècle de la dignité de maréchal. Elle est alors largement répandue en Normandie, de Pont-Audemer au Cotentin, mais tout particulièrement dans les vallées de la Touques et de la Dives, où se trouve d’ailleurs, sa paroisse éponyme. (...) »

     

    Ci-dessus, blason de la famille de Brucourt par Chatsam — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=24862031

     

    LES REMPARTS DE FERVAQUES (Calvados)      A cette époque, où chaque grand seigneur fonde son ou ses abbayes où lui et les siens viendront reposer, les Brucourt, se révèlent être les grands protecteurs de l’abbaye naissante du Val-Richer qui se trouve à peu de distance de leurs fiefs de Formentin et de Rumesnil. (...)

         Les Brucourt, refusant toute allégeance au roi d’Angleterre, celui-ci saisit la baronnie de Ferrière et la remit vers 1436 à Griffith Don, écuyer anglais, capitaine de Lisieux en 1441 et 1442. En 1448, cette terre était encore entre les mains de son fils Robert Don.

     

    La famille de Hautemer

     

          On ne sait comment la seigneurie de Fervaques vint aux de Hautemer, modeste famille implantée au Mesnil-Tison et à Formentin au début du 15e siècle, mais à partir de cette époque, ils se titrent régulièrement seigneurs du Fournet et de Fervaques (…) Au début du 16e siècle, ils ont transformé le petit fief de Fervaques et la vieille forteresse d’Auquainville autour de laquelle il y a bourg et marché ayant disparu, Fervaques prend sa place et en quelques années va lui ravir son rôle économique autour de ses moulins à blé et à papier, de ses marchés et semble-t-il également de sa justice, prétoire et tabellionnage. » [3]

     

    Ci-dessus blason de Guillaume de Hautemer de Grancey par Jimmy44Cette image a été réalisée pour le Projet Blasons du Wikipédia francophone. — Travail personneliLe code de ce fichier SVG est valide.Cette image vectorielle a été créée avec Inkscape par Jimmy44., CC BY 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=3488500

     

    LES REMPARTS DE FERVAQUES (Calvados)     « Le château de Fervaques est l’œuvre de François Gabriel, grand architecte d'Argentan, déjà connu pour la construction du château de Carrouges dans l'Orne, et dont la lignée familiale sera réputée à Paris (Place de la Concorde et édifices publiques).​ C'est le maréchal Guillaume IV de Hautemer, puissant chef d'armée et chevalier des ordres du roi et gouverneur de la province de Normandie, qui avait commandé, à l'architecte de renom, un vaste édifice à la mesure de ses ambitions, dans l'intention de faire honneur à sa seconde épouse Anne d'Alègre, comtesse de Laval, à l'occasion de leur mariage en 1599. (...)

         Le château « fut le lieu d'une grande histoire : témoin des négociations entre le maréchal Guillaume IV de Hautemer et le roi Henri IV au 16e siècle... » [4]

     

         « Henri IV y dormit, dans le château, la veille de la bataille d'Ivry, en chemin vers Paris, avant de se convertir. » [1] 

     

         Le manoir abrite la chambre où séjourna Henri IV en 1590, venu négocier avec le maréchal de Hautemer, fin stratège, les conditions de sa coopération dans la reconquête de l'unité entre Français catholiques et Français protestants, qui aboutira huit années plus tard à l'Edit de Nantes. » [4]

     

         « Guillaume de Hautemer, chevalier, comte de Châteauvillain, baron puis duc de Grancey, seigneur de Fervaques, né en 1537 ou 1538 au château de Fervaques, dans le diocèse de Lisieux et mort le 14 novembre 1613, est un gentilhomme et militaire français des 16e et 17e siècles. Il est fait maréchal de France en 1597. (...) La fortune de Guillaume de Hautemer est due à son mariage, ses fonctions et aussi du produit de pillages » [1]

     

    Portrait  du maréchal de Fervaques extrait du site https://www.chateaulekinnor.com/espaces
     

         Il commença sa longue carrière militaire sous François Ier , puis servit successivement Henri II, Charles IX, Henri III et Henri IV.
    Il fit partie de toutes les expéditions militaires de son temps et prit part également à l’assaut final dirigé contre Gabriel de Montgommery, et il fut d’ailleurs blessé lors de la rencontre. (...) Le maréchal mort, la maréchale retirée dans ses salons parisiens, la vie dut cependant continuer au château, mais au 18e siècle l’intérieur fut considérablement modifié. » [3]

          Voir aussi au sujet du maréchal de Fervaques :

    http://www.bmlisieux.com/normandie/hautemer.htm)

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume_de_Hautemer_de_Grancey

     

    La famille de Prie

     

         « Il laissait trois filles de son premier mariage avec Renée Lévêque de Marconnay : Louise de Hautemer, l'aînée, eut en partage les terres de Fervaques et de Plasnes. Elle avait épousé, en premières noces, Jacques de Hellenvilliers ; mais, étant devenue veuve au bout de peu de mois, elle convola à de secondes noces avec Aymar de Prie marquis de Toucy, en 1593. Louis de Prie, marquis de Toucy, l'un de ses fils, fut après elle seigneur de Fervaques, terre qui échut ensuite en partage à Charlotte de Prie, sa fille. Celle-ci épousa, en 1639, Noël de Bullion, sieur de Bonnettes, d'une famille considérable dans la finance et sur laquelle cette illustre alliance vint jeter un nouveau relief.

     

    Dessin ci-dessus extrait de la Statistique Monumentale du Calvados d'Arcisse de Caumont.

     

    La famille de Bullion


         Charlotte de Prie mourut en 1700 : deux de ses fils portèrent le titre de marquis de Fervaques. L'un, Alphonse de Bullion, fut gouverneur des provinces du Maine et du Perche et mourut sans postérité en 1698. L'autre, Charles-Denis de Bullion, marquis de Galardon et de Fervaques, prévôt de Paris et gouverneur du Maine et du Perche, épousa, en 1677, Marie-Anne Rouillé de Meslay, qui lui donna cinq fils et quatre filles (...) La terre de Fervaques échut à son second fils, Anne-Jacques de Bullion, marquis de Fervaques, gouverneur du Maine et chevalier du St-Esprit. Ce dernier épousa, en 1708, Marie-Madeleine-Hortense Gigault de Bellefonds et en eut trois filles : Marie-Anne-Étiennette de Bullion, l'aînée, épousa en 1734 Charles-Anne-Sigismond de Montmorency-Luxembourg, duc d'Olonne ; la seconde, Jacqueline-Hortense de Bullion fut mariée à Guy-André-Pierre, duc de Montmorency-Laval ; et la troisième, Auguste-Léonine-Olympe Nicole de Bullion, fut la femme de Paul-Louis, duc de Beauvilliers.

     

    Ci-dessus, blason de la famille de Bullion par User : Spedona Cette image a été réalisée pour le Projet Blasons du Wikipédia francophone. — Travail personneliLe code de ce fichier SVG est valide.Cette image vectorielle a été créée avec Inkscape par User:Spedona., CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=1374933

     

    La famille de Montmorency-Laval

     

         Après la mort du dernier marquis de Fervaques, qui avait considérablement augmenté et orné cette terre, elle échut au duc de Montmorency-Laval, et le château cessa d'être ordinairement habité. En 1803, les héritiers du duc de Laval aliénèrent la terre de Fervaques : le château, avec la plus grande partie des domaines qui en dépendaient, fut acquis par Mélanie de Sabran, veuve du marquis de Custine, une des victimes de 1793. » [5]

     

    La famille de Custine

     

         « J'ai laissé la paix et le bonheur à Fervaques. Mille tendresses aux amis, et même au vieux château. J'aime ses murs, ses eaux et son antique chambre de Henri IV. A vous cet attachement qui vous poursuit partout et dont je vous accable depuis je ne dirai pas combien d'années. » Chateaubriand à Delphine de Custine, 1821.

         « En 1803, le domaine se trouvant sans héritier, l'écrivain François-René de Chateaubriand, à l'époque secrétaire d'ambassade à Rome, demanda alors à son égérie, Delphine de Custine, marquise de Sabran, d'acheter cette demeure (à la duchesse de Luynes). Chateaubriand vint souvent retrouver « la paix et le bonheur » à Fervaques, et il y écrivit même une partie des Martyrs, et notamment l'épisode de Velléda, personnage que lui inspira la maîtresse des lieux que l'on surnommait « La Reine des Roses ».

     

         Celle-ci organisa même un cercle littéraire avec les grands poètes du moment, et notamment Chênedollé, Sainte-Barbe, et Astolphe de Custine, son fils. ​Delphine de Custine s'éteignit en 1826 à Bex, près de Lausanne où se trouvait Chateaubriand au même moment.

         Elle fut enterrée par son fils dans la petite chapelle du cimetière d'Auquainville, paroisse voisine à laquelle alors est rattachée Fervaques. (...)

     

     

         Astolphe de Custine, auteur du célèbre récit de voyage La Russie en 1839, hérita du domaine à la mort de sa mère, mais le revendit après trois années. Il acquit alors un château à Saint-Gratien (95), où il reçut les artistes les plus éminents de son époque : Balzac, Hugo, Chopin, Delacroix, Musset, Stendhal ou encore Lamartine.

         Il s'y éteignit le 25 septembre 1857 et partit rejoindre les terres de Fervaques pour demeurer à jamais auprès de sa mère, dans la petite chapelle d'Auquainville. » [4]

     

    Les trois portraits ci-dessus sont extraits du site https://www.chateaulekinnor.com/espaces

     

         « Si nous ignorons qu’elles aménagements elle y fit, nous savons en revanche que la destruction des bâtiments qui entouraient la cour vers l’est et le nord ainsi que la création du perron à double évolution sont l’oeuvre du marquis de Porte ( …) » [3]

     

    La famille de Porte

     

         « M. Ch. Vasseur décrit ainsi qu'il suit le château de Fervaques. Ce château, dit-il, se composait encore, au commencement du siècle, d'une masse de constructions imposantes, assez irrégulièrement disposées, avec cours et basses cours ; le tout entouré de fossés remplis d'eau courante, et longé par la Touque. Après en être devenu propriétaire, M. le marquis de Porte a fait démolir plusieurs corps de logis, et il ne reste plus que deux des côtés de l'enceinte. » [5]

     

    La famille de Montgommery

     

         « La famille de Montgommery qui l’occupa ensuite, lui redonna un certain lustre en y rassemblant des collections d’objets et des documents historiques.

         Après avoir été vendu à la Caisse d’Allocations Familiales de la Seine-Maritime qui le transforma en aérium, la propriété  fut une nouvelle fois divisée entre la commune de Fervaques et l’Association qui occupe le château avant d’être de nouveau réunie par cette dernière. » [3]

     

    Ci-dessus, blason de la famille Montgomery dessiné par O. de Chavagnac pour l'Armorial des As http://dechav.free.fr/armorial/blason.php?id=Montgommery_Normandie

     

    LES REMPARTS DE FERVAQUES (Calvados)     « En 1981, M. Jean-Claude Lhotel retient pour l'Association Le Kinnor cette propriété qu'il sauvera du morcellement et l'ouvrira à tous et aux visites. (...)

         Depuis 1982, il est la propriété du Kinnor, Association Musicale et d'Intégration des Handicapés et non Handicapés, et Centre de Culture - Vacances - Loisirs pour tous. Vaste domaine, il accueille les visiteurs, les groupes, les stages, les manifestations familiales, les transferts et offre une capacité d'hébergement de 150 lits et une possibilité de restauration sur place. Le château reste également un lieu éminent pour tous les événements touristiques et culturels en Normandie. » [4]

     

    Architecture

     

         « Tel qu’il nous est parvenu, le château de Fervaques comprend trois parties distinctes: le « Château Vieux », le « Château Neuf », la porterie et le colombier. » [3]

     

         « On entre par l'ancienne tête de pont, heureusement conservée. C'est un gros pavillon carré, construit en briques avec chaînes de pierres (…) La porte, à arc surbaissé, est accompagnée d'une étroite poterne à laquelle correspond, du côte opposé, une niche cintrée. L'étage supérieur n'offre, en fait d'ouvertures, que les rayères par lesquelles passaient les chaînes du pont-levis. » [5] 

     

         « Le château, construit de 1597 à 1602 sur un manoir plus ancien (14ème-15ème siècles), comprend un long corps de logis flanqué de deux pavillons très allégés par les pierres en bossage qui s'impriment sur la brique et l'enduit rose. ​Le manoir abrite la chambre où séjourna Henri IV en 1590... » [4]

     

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    LES REMPARTS DE FERVAQUES (Calvados)     « La partie de la construction la plus ancienne possède une alternance de pierres et de briques. Le colombier est daté également de cette phase ancienne même s'il est conservé seulement de manière partielle.

         Le bâtiment est composé de deux pavillons et d'un logis, outre l'aile médiévale préservée. Une autre aile abritait la boulangerie destinée aux troupes est perdue. Gabriel s'est inspiré du logis médiéval conservé pour sa bâtisse constituée également de pierres et de briques. L'architecte s'accorde des libertés avec son modèle dans le décor et en particulier les lucarnes.

         Le château a été modifié : les meneaux disparaissent au 18e siècle et l'entrée est modifiée, de même la bâtisse a perdu un grand escalier. » [1]

         « L'aménagement d'un potager, la plantation de pommiers, la modernisation du décor intérieur (cheminées, boiseries...) et l'ajout de l'escalier à double révolution sont intervenus pendant le 19ème siècle. » [4]

    Sur l'architecture voir  : https://www.chateaulekinnor.com/espaces

     

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    Protection :

     

         « En 1995 (02 mai), sous l'impulsion de l'Association Le Kinnor, le château a été classé « Monument Historique » : château, poterne, vestiges du colombier, pont sur la Touques, parc avec douves et système hydraulique » [1] 

     

     LES REMPARTS DE FERVAQUES (Calvados)    Il « a reçu le label de « Joyau de la Construction fin 16ème siècle (…) Le domaine possède également deux arbres remarquables : le plus vieux platane d'Orient de France, mais aussi un hêtre pourpre bicentenaire dit « de Chateaubriand ». [4]

     

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    Sources :

     

    [1] Extrait de Wikipédia

    [2] Extrait de http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/dapamer_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_98=REF&VALUE_98=PA00111332

    [3] Extrait de http://www.societehistoriquedelisieux.fr/?p=6024

    [4] Extrait de https://www.chateaulekinnor.com/

    [5] Extrait de la Statistique monumentale du Calvados par A de Caumont tome 5 - page 712 ; 1446-1867 ; http://tourisme.aidewindows.net/fervaques.htm  http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96875612/f730.item.r=%22ch%C3%A2teau%20de%20Fervaques%22.texteImage

     

     LES REMPARTS DE FERVAQUES (Calvados) LES REMPARTS DE FERVAQUES (Calvados)

     

     

    Bonnes pages :

     

    Site officiel : O https://www.chateaulekinnor.com/

     

    O http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6419843r/f201.image.r=%22ch%C3%A2teau%20de%20Fervaques%22

    O http://www.societehistoriquedelisieux.fr/?p=6024

    O http://marie-antoinette.forumactif.org/t2016-le-chateau-de-fervaques

    O https://krapooarboricole.wordpress.com/2011/10/16/le-platane-d%E2%80%99orient-du-chateau-le-kinnor-fervaques-calvados/

    O http://photos.le.kinnor.monsite-orange.fr/

    O https://www.monumentaltrees.com/fr/fra/calvados/fervaques/951_chateaulekinnor/

    O http://tourisme.aidewindows.net/fervaques.htm

    O https://books.google.fr/books?id=Iitp82fUV4MC&pg=PA180&lpg=PA180&dq=ch%C3%A2teau+de+Fervaques&source=bl&ots=1V3NTB_q_g&sig=V5mBU4cOKbaWa7uTiUCWmqumFGw&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwit8JiEhbjZAhUrJcAKHT-cD-I4KBDoAQg5MAI#v=onepage&q=ch%C3%A2teau%20de%20Fervaques&f=false

    O http://www.sequoias.eu/Pages/Locations/Normandie/fervaques_cheffreville.htm

    O http://mapio.net/pic/p-106305665/

    O http://www.actuacity.com/fervaques_14140/monuments/

     

    O Ci-dessous deux documents PDF en annexe :

          A gauche : document de visite de l'association "Le Vieux Honfleur", 2005.

          A droite : Guillaume de Hautemer, maréchal de France, site O'Mahony.

    « LES REMPARTS DE BOITRON (Orne)LES REMPARTS DE CHAUSEY (Manche) »
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  • Commentaires

    1
    Paul Barabé
    Dimanche 26 Mai 2019 à 16:55

    C'est tout le manoir ancien qui date d'avant l'extension du château par Guillaume V de Hautemer et non pas seulement le colombier.

    Le détail de mon étude se trouve dans le livre " les colombiers du Pays d'Auge" où j'ai recensé et étudié celui de Fervaques.

    L'étude de l'ensemble de la propriété a ensuite été repris dans un second opus consacré à la poterne sous le titre: " Les poternes et autres colombiers du Pays d'Auge".

    La consultation des deux ouvrages permettrait de corriger d'autres erreurs relevées dans l'article.

    P. Barabé

     

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