• LES REMPARTS DE COURTEILLES (Eure)

    LES REMPARTS DE COURTEILLES (Eure)    Courteilles a un passé historique dense. Un ancien château fort est mentionné à Courteilles dès la fin du 12e siècle.La route du fossé royal, qui traverse le village, rappelle l’importance de cette fortification (composée d’un fossé et d’un remblai) sur la frontière franco-normande entre 911 (traité de Saint Eloi sur Epte) et la fin de la guerre de Cent ans. L’Avre marque aujourd’hui encore la frontière entre la Normandie et l’Ile de France. [NdB]

     

    Ci-dessus, photo extraite de La Frontière normande de l'Avre : De la fondation de la Normandie à sa réunion au domaine royal (911-1204). Évolution de la maîtrise militaro-économique d'un territoire frontalier par Astrid Lemoine-Descourtieux. http://books.openedition.org/purh/6807

     

         " Très proche, géographiquement et historiquement, de Tillières, le site de Courteilles est aujourd’hui encore peu connu. La famille évolua dans l’ombre de la baronnie de Tillières. À la fin du 12e siècle, le duc de Normandie renforça ses défenses, notamment la basse-cour. Les vestiges présentent encore aujourd’hui une motte tronconique assez raide, entourée de profonds fossés. Les aveux évoquent seulement manoir, chapelle etc., murailles de terre, larges fossés et deux ponts levis. Cette fortification, était située à proximité immédiate des Fossés le Roi. " [1]

     

    LES REMPARTS DE COURTEILLES (Eure)    LES REMPARTS DE COURTEILLES (Eure)

      

    Plan de situation de la motte de Courteilles ; blason de la famille de Courteilles (est-ce le bon ?) par Gilloudifs

     

    LES REMPARTS DE COURTEILLES (Eure)     " Le château de Courteilles (Canton de Verneuil-sur-Avre, dép. de l’Eure), principale fortification de l’Avre entre Verneuil et Tillières, faisait le lien entre ces deux places fortes, tout en restant étroitement dans l’orbite de Tillières. Dans l’histoire des guerres franco-normandes de l’Avre, il trouva sa place en assurant un rôle diplomatique. Ce fut très certainement le lieu choisi « entre Verneuil et Tillières » pour la rencontre entre Richard Cœur-de-Lion et Philippe Auguste du 23 juillet 1194. J.-F. Lemarignier a d’ailleurs rappelé que cette entrevue sur un site frontalier, comme celles plus nombreuses du gué de Saint-Rémy, était une réminiscence de la coutume de « l’hommage en marche ». Si l’accord ne cite pas nommément Courteilles, il est fort prob able qu’elle y eut lieu car le château, comme celui de Tillières, semble avoir été à cette époque entre les mains de Richard. Le souverain le fortifia, comme en témoignent les rôles de l’Échiquier : en 1198, 450 livres y furent attribuées à Robert, clerc, et non au seigneur de Courteilles, dont 300 livres pour « clore de pierre la basse-cour de Courteilles ». La somme est conséquente et montre toute l’importance de la place. " [2]

     

    Ci-dessus, photo extraite de ce même document : La Frontière normande de l'Avre : De la fondation de la Normandie à sa réunion au domaine royal (911-1204). Évolution de la maîtrise militaro-économique d'un territoire frontalier par Astrid Lemoine-Descourtieux. http://books.openedition.org/purh/6807

     

    La guerre franco-anglaise en 1194 :

     

    LES REMPARTS DE COURTEILLES (Eure)     " Au cours de la lutte décisive entre France et Angleterre, Philippe Auguste, profitant de l'absence de Richard Cœur de Lion, conclut, en janvier 1194, un accord avec Jean sans Terre qui lui cédait les châteaux de Gisors, Evreux et Verneuil. Mais Verneuil refusa d'ouvrir ses portes et le roi dut y mettre le siège le 10 mai 1194, déployant contre la ville toutes les ressources de son art militaire et de ses redoutables machines. Guillaume le Breton raconte que les Vernoliens montrèrent en cette occasion le mépris dans lequel ils tenaient le roi de France, accablant de sarcasmes l'image qu'ils avaient peinte de lui sur la porte du Château. Philippe, cependant, au bout de dix-huit jours, quittait brusquement son armée pour aller, avec quelques troupes, venger par le fer et le feu la trahison d'Evreux, où Jean sans Terre, inquiet du retour de son frère, avait fait décapiter les soldats de la garnison française. Entre temps, Richard, revenu en Angleterre, débarquait à Barfleur et fonçait sur Verneuil, dont les Français levaient le siège. Le roi d'Angleterre entra en triomphateur dans la ville et en releva une nouvelle fois les remparts. Philippe Auguste se résigna à la conclusion d'une trêve qui fut signée entre Verneuil et Tillières, sans doute au château de Courteilles. " [3]

     

    Ci-dessus, une photo aérienne extraite du site Géoportail.

     

    LES REMPARTS DE COURTEILLES (Eure)       " Le château d’origine, du type le plus courant dans la petite noblesse c’est-à-dire à donjon sur motte et basse-cour, fut donc renforcé par les considérables investissements de 1198. En 1629 et 1670, ses différents éléments furent énumérés : « Manoir seigneurial, chapelle [...] le tout clos et fermé de grandes fosses avec deux pontz levis, l’un pour entrer audit logis et l’autre aux jardins clos de murailles de terre, contenant deux acres de terre ou environ. »

         Il était donc vaste, cerné de grands fossés et à accès par deux ponts-levis. Le logis proprement dit n’était probablement pas antérieur aux 13e-14e siècles (le relevé présente l’entrée du château sous la forme d’un mur droit percé d’une porte cintrée et épaulé aux angles par une tourelle à un seul niveau. Le château a malheureusement été découpé.). La chapelle a disparu, rendant inutile toute tentative de datation. Enfin, ni la motte ni la tour ne furent évoquées : pourtant d’indéniables vestiges subsistent encore (ill. n° 30 et 31) à l’ouest des ruines du château du marquis Barberie de Courteilles (fin du 18e siècle), avec une motte et son fossé annulaire. Ils furent mentionnés au 18e siècle, dans un Mémoire historique sur Verneuil (Arch. dép. Eure, IV F 174, p. 8 (n. 2) : « On voit encore la butte sur laquelle ce château était bâti. » ), puis oubliés jusqu’aux travaux de A. Baume puis de D. Lepla ( ...hauteur de la motte : 17 m ; largeur du rempart : 9 m ; hauteur du rempart : 4 m.). La hauteur de l’ouvrage et la raideur des pentes, notamment dans la partie occidentale, sont remarquables, montrant un état de conservation probablement proche de l’état initial. De nombreux débris de silex attestent l’existence d’anciennes constructions. La large basse-cour a été englobée dans les remaniements du 18e siècle, mais A. Baume aurait identifié certains pans de murs des communs comme pouvant se rapporter aux travaux de la fin du 12e siècle, cités par l’Échiquier.

         L’aveu de 1707, sensiblement différent, donne des renseignements sur l’environnement du château, notamment le passage à proximité immédiate des « Fossés le Roi » : « Item une autre piesse [...] bornée [...] d’autre côté les fossés royaux, d’un bout le château [...] » Il subsiste encore une voie appelée « route du Fossé Royal ». Ces fossés donnèrent ainsi naissance à un chemin et servent encore de bornement. " [2]

     

    Ci-dessus, un extrait de la carte d'Etat-Major extraite du site Géoportail.

     

    « Frontière du pays chartrain.

     

           La petite rivière d'Avre, coulant pendant soixante-dix kilomètres dans une étroite vallée, entre les plaines de l'Evrecin et celles de la Beauce formait de ce côté un fossé naturel et délimitait la frontière d'une manière qui n'a jamais varié.

    Avra licet parva Francorum dividit arva.

          Les châteaux de Chênnebrun, Verneuil, Tillières et Nonancourt étaient bâtis sur les collines qui dominent cette rivière au nord et se trouvaient tous au passage de routes anciennes qu'ils interceptaient. Illiers-l'Évêque se trouvait un peu plus loin dans la plaine, sur la route de Dreux à Évreux. Dans plusieurs endroits où la rivière encore faible ne formait pas un obstacle suffisant, le roi Henri II avait fait creuser de longues lignes de fossés avec un rempart de terre. M. de Caumont les signale dans les communes d'Irai, Chênebrun, Saint-Christophe et Courteilles, où ils portent le nom de Fossés-ie-Roi. Il engage à les étudier dans leur ensemble et par rapport avec les forteresses voisines. A une dizaine de kilomètres en arrière, le cours de l'Iton et les châteaux de Bourth, Cintray, Condé-sur-Iton, Breteuil et Damville formaient une seconde ligne parallèle à la première. Une troisième consistait dans les trois fortes places de Laigle, Conches et Évreux, reliées par le cours de la Risle et par les forêts de Breteuil, de Conches et d'Évreux. Cette frontière fut rarement attaquée avec succès, et plus d'une fois, particulièrement en 1119, Breteuil fut le bouclier de la Normandie. » [7]

     

    Les fossés royaux :

     

         " Vestiges de la frontière entre la France et la Normandie, ils furent réalisés entre 1158 et 1168. C’est Henri II Plantagenêt, duc de Normandie et roi d’Angleterre, qui a ordonné la construction de cette fortification venant compléter la ligne de châteaux existants, déjà renforcée sous le règne de Henri Ier Beauclerc. Le tracé initial comptait 105 km de long. La terre enlevée pour creuser le fossé (3 à 9 m de profondeur) était rejetée coté Normandie pour former un talus haut (5m) donc infranchissable. Malmenés par la mise en culture et le remembrement, les portions existantes aujourd’hui demeurent dans des zones essentiellement boisées comme c’est le cas à Saint-Christophe-sur-Avre. " [4]

     

     

    Le lignage de Courteilles

     

         On trouvait " le lignage de Courteilles qui fut très tôt associé à Tillières ou aux autres fidèles de l’honneur (cartes no 20). Les sources étant lacunaires, la famille présente quelques périodes obscures : la chronologie mise en place ici est donc relative. Le premier seigneur de Courteilles, Roscellin, témoigna vers 1079-1101 pour la donation de Garin d’Ilou sur les fours de Brezolles. Peut-être représentait-il alors la famille de Tillières. Dans une charte de 1096, où Gilbert de Tillières était présenté comme co-donateur, Guillaume de Courteilles fut témoin de Geoffroy de Bérou ; son fils Richard le fut de nouveau vers 1119. Guillaume de Courteilles assista à une autre donation sur la dîme de Bérou, confirmée par Matthieu de Charnelles. Durant toute la première moitié du 12e siècle, Guillaume apparut souvent dans les actes passés par Gilbert III, dès 1107 pour une donation faite sur Brezolles par Gervais Ier de Châteauneuf. Il témoigna pour Gilbert II et apposa son seing sur la charte de Gilbert III à propos de Gauville (1109). Lorsque Gilbert III consentit à la donation des moulins d’Armentières, Guillaume de Courteilles fut son témoin. Enfin, la charte du rétablissement de Saint-Père sur les moulins de Bérou le mentionne parmi la cour de Gilbert, comme intendant de Simon d’Ilou. Par ailleurs vers 1101-1110, Guillaume de Courteilles apparut à l’ouest de l’honneur comme témoin de l’abbaye de Saint-Père, avec Robert de Tranchevilliers et Foulques d’Armentières – mais sans Gilbert III – lors de la donation de l’église de Chandai, dépendante de la baronnie L’Aigle.

     

    LES REMPARTS DE COURTEILLES (Eure)          Son fils Richard traduisit le même attachement à la famille de Tillières et une participation active aux donations de l’Avre. Vers 1160, il fut également témoin de Raoul d’Ilou récapitulant nombre de concessions faites à la léproserie du Grand Beaulieu par sa famille, Crespin de Nonancourt, Garin de Saint-Rémy, Garin de Malicorne, etc. Toutes ces donations concernaient principalement les alentours de Dampierre, au sud de l’Avre, à proximité immédiate de Courteilles et de Tillières. Par ailleurs, étant données les circonstances, « Richard », cité en 1188 dans une charte de Gilbert V comme sénéchal de Tillières, pourrait bien être ce Richard de Courteilles. Celui-ci fut également lié à des établissements indépendants de Tillières. Il fit ainsi du consentement de ses enfants, Gilbert, Adeline et Marie, des donations à l’abbaye de l’Estrée dès sa fondation (1144), pour lesquelles Tillières n’apparut pas133. Il choisit avec son fils, Gilbert, et « sur le conseil de Richer II de L’Aigle » de faire don de la dîme de Courteilles à la Chaise-Dieu du Theil. Aucun membre de Tillières ne fut présent mais y assistèrent des personnes relevant de son honneur (de Damville, Bourth, Droisy, Nonancourt, la Héruppe, Malicorne, etc.) Le choix a aussi bien pu être motivé par l’alliance matrimoniale de 1159 entre les familles de L’Aigle et de Tillières que par les relations de la famille de Courteilles avec celle de L’Aigle, connues dès 1130 (Chandai). Enfin, dans ces mêmes années apparurent d’autres personnages, apparemment originaires de Courteilles ou cadets de la famille : en 1147, Gaudin de Courteilles fut témoin en la « tour de Chartres » d’une confirmation de Thibault de Chartres pour la léproserie du Grand-Beaulieu et vers 1150, Geoffroy de Courteilles fut témoin d’un accord passé entre l’abbaye de Saint-Père et un prêtre de Saint-Georges.

     

    Ci-dessus carte des dépendances de l’honneur de Tillières au 12e siècle (c. 1120-1190). Lemoine-Descourtieux, Astrid. Primauté de Tillières au XIe  siècle In : La Frontière normande de l'Avre : De la fondation de la Normandie à sa réunion au domaine royal (911-1204). Évolution de la maîtrise militaro-économique d'un territoire frontalier [en ligne]. Mont-Saint-Aignan : Presses universitaires de Rouen et du Havre, 2011 (généré le 07 novembre 2019). Disponible sur Internet : <http://books.openedition.org/purh/6820>. ISBN : 9791024010618. DOI : 10.4000/books.purh.6820.

     

         À la fin du 12e siècle, le fief se retrouva apparemment entre les mains de Richard Cœur-de-Lion puisqu’en 1195, le receveur du roi faisait état de 14 sous « du produit de la terre de Gilbert de Courteilles ». D’ailleurs en 1198, il avait pleine autorité comme à Tillières pour mettre la place en défense : les rôles de l’Échiquier signalent que Robert, clerc, reçut du Trésor des sommes importantes (en tout 550 livres) pour, entre autres choses, murer la cour du château. Cependant la famille ne disparut pas et resta ancrée dans la région. En 1198, Gilbert de Courteilles fut témoin d’une charte de l’évêque d’Évreux138. Le 17 mars 1202, alors que Jean sans Terre se trouvait à Verneuil, il attribua une rente à Jean de Courteilles et à son fils Guillaume pour « l’échange » opéré à Courteilles : le roi entendait-il par là indemniser la famille et conserver la place pour son propre compte comme à Tillières ? En comparaison, la rente de 30 livres paraît importante et laisserait peut-être présumer de la taille de la seigneurie de Courteilles. Enfin en janvier 1234, la présence de Guillaume avec Robert de Courtenay, Guillaume des Minières, Robert d’Ivry, Guillaume Crespin etc., au serment de l’archevêque de Rouen d’observer la coutume normande montre que la famille resta en Normandie et retrouva sans doute son fief. Guillaume de Courteilles, son fils, fit encore une donation sur ses possessions de Bourth au prieuré du Désert en 1255.

         En conclusion, nous pouvons affirmer que les documents où figurèrent les membres de la famille de Courteilles les mettent en rapport fréquent avec des familles, des terriroires ou des établissements religieux français et le plus souvent en relation avec son seigneur de Tillières. Outre le fief éponyme de Courteilles et les territoires directement associés, la famille de Courteilles semble avoir eu des intérêts dans le Perche et le Dreugésin. Entre 1101 et 1129, Guidon de Cintray avait fait don à l’abbaye de Saint-Père de la dîme d’Archipenna, dépendance du prieuré de Brezolles. Guillaume de Courteilles semble en avoir hérité puisqu’il fit une tentative pour la reprendre. Il est également attesté que vers 1148, le fief avait des dépendances à Charencey dans le Perche. Il semble donc que la famille ait directement profité de l’avancée de Tillières en terre française et se soit établie sur des territoires relativement dissociés du fief d’origine. " [2]

     

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    LES REMPARTS DE COURTEILLES (Eure)     Entre 1754 et 1762, un nouveau château classique est érigé par Jacques-Dominique de Barberie, marquis de Courteilles et gouverneur de Verneuil. La construction de ce château nécessite la destruction des remparts de Verneuil et le réemploi de ses pierres. En 1849, les héritières, accablées de dettes, vendent à deux spéculateurs qui font aussitôt démolir les trois quart du château afin d’en vendre les matériaux. L’extrémité de l’aile gauche, préservée, est saccagée sous l’Occupation et tombe en ruine. [NdB]

     

    Ci-dessus, gravure du château et du temple par Constant Bourgeois ornant l'ouvrage d'Alexandre de Laborde publié en 1808 http://www.parcsafabriques.org/courteilles/courteilles1.htm

     

         " Courteilles est surtout connue pour son ancien château construit entre 1754 et 1762 par le Marquis de Courteilles. Il fut Conseiller d’Etat et Intendant des Finances, en charge de la manufacture de Sèvres et a laissé son nom à une forme de porcelaine. Le château fut démoli en 1850, après la mort des dames de Courteilles (la comtesse de Rochechouart et la duchesse de Richelieu, fille et petite-fille du marquis. Cette dernière était l’épouse du duc de Richelieu, fondateur d’Odessa et premier ministre sous la restauration). Le parc du château, transformé en jardin à l’anglaise avant la Révolution, contient toujours la plupart des fabriques qui y furent alors édifiées, notamment un petit temple à colonnades et un tunnel de rochers, monuments très en vogue à l’époque. " [5]

     

    LES REMPARTS DE COURTEILLES (Eure)     " Le château de Courteilles (seconde moitié du 18e siècle, détruit en 1849), route départementale 676, inscrit au titre des monuments historiques Inscrit MH (1976, Escalier menant à la terrasse ; orangerie ; fabriques subsistantes du parc), l'architecte étant Antoine Matthieu Le Carpentier.

         Il en subsiste les fabriques telles que petit temple, tunnel de rochers, pavillon Richelieu, tour gothique. Il connut trois occupants ; outre Jean-Dominique de Barberie, marquis de Courteilles, son gendre le comte de Rochechouart (1744-1791) puis le duc de Richelieu. On doit au lithographe Constant Bourgeois trois gravures pour l'ouvrage consacré au château en 1808 et rédigé par Alexandre de Laborde. " [6]

     

     

    Sources :

     

    [1] Extrait de Les petites fortifications de la région de l'Avre (XIe-XIIIe siècles) : essai d'inventaire d'après les sources littéaires, iconographiques et la prospection par Astrid Le moine-Descourtieux – Bulletin n° 92004 Centre de Recherches Archéologiques de Haute-NormandieSociété Normande d’Études Préhistoriques

    [2] Extrait de La Frontière normande de l'Avre : De la fondation de la Normandie à sa réunion au domaine royal (911-1204). Évolution de la maîtrise militaro-économique d'un territoire frontalier par Astrid Lemoine-Descourtieux. Nouvelle édition [en ligne]. Mont-Saint-Aignan : Presses universitaires de Rouen et du Havre, 2011 (généré le 04 novembre 2019). Disponible sur Internet : <http://books.openedition.org/purh/6807>. ISBN : 9791024010618. DOI : 10.4000/books.purh.6807.

    [3] Extrait de Le Pays de Verneuil-sur-Avre sous la direction de Francis Glatigny ; [photogr. de Marc de Fromont – Éditeur (Évreux) 1987 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3336543g/f19.item.r=%22ch%C3%A2teau%20de%20Courteilles%22.texteImage

    [4] Extrait de http://www.normandie-sud-tourisme.fr/wp-content/uploads/2017/10/rando-fosses-royaux.pdf

    [5] Extrait de http://www.inse27.fr/interco/les-communes/courteilles/

    [6] Extrait de Wikipédia

    [7] Extrait du Congrès archéologique de France : séances générales tenues... par la Société française pour la conservation des monuments historiques ; éditeur : Derache (Paris) / A. Hardel (Caen), 1876.

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